Le récit d'Harold Bride au New-York Times
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Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Je n'ai pas tout traduit, il manque une partie.
Le récit suivant a été rapporté par M. Bride, l' opérateur radio en second du Titanic, à notre journaliste du New-York Times en présence de Marconi qui est en ce moment à New-York.
J' ai rejoint le Titanic à Belfast. Je suis né à Nunhead, Londres il y a 22 ans et j' ai rejoint Marconi en juillet dernier. J' ai travaillé tout d' abord sur le Haverford et ensuite le Lusitania et j' ai été transféré sur le Titanic à Belfast. Je n' avais pas beaucoup à faire à bord du Titanic excepté relever Phillips, l' opérateur en chef, de minuit jusqu' au petit matin quand il avait fini de dormir. Il y avait 3 pièces dans la station radio. Une pour dormir, la pièce sourde et celle où on travaillait. J' ai enlevé mes vêtements et je suis allée me coucher. Ensuite je n' étais pas encore endormi et j' entendais Phillips envoyait à Cape Race. J' ai lu ce qu' il envoyait, c' était habituel. Je me suis rappelé à quel point il était fatigué et je suis sorti de mon lit sans mes vêtements pour le relever. Je n' ai même pas senti le choc. Je ne savais pas ce qui s' était passé jusqu' à ce que le capitaine vienne nous voir. Il n' y avait eu aucune secousse.
Le signal de détresse CQD
J' étais debout disant à Phillips d' aller se coucher quand le capitaine nous a dit
- Nous avons heurté un iceberg, j' ai fait faire une inspection, tenez vous prêt à envoyer le signal d' assistance mais ne l' envoyez pas jusqu' à ce que je vous le dise."
Le capitaine est parti et 10 minutes après il est revenu. Nous entendions une terrible confusion dehors mais il n' y avait pas le moindre signe qui indiquait un danger. Le télégraphe fonctionnait parfaitement.
- Envoyer l' appel d' assistance" a dit le capitaine, passant à peine sa tête à travers la porte.
- Quel appel dois-je envoyer ? demanda Phillips
- Le regulation international call for help ( CQD ), juste ça.
Ensuite le capitaine est parti. Phillips a commencé à envoyer le CQD. Nous plaisantions tandis qu' il envoyait le signal pendant environ 5 min puis le capitaine est revenu.
- Qu' envoyez-vous ?
- CQD a répondu Phillips.
Plaisanteries sur la collision
J' ai osé une petite remarque qui les a fait rire
- Phillips, change le en SOS, c' est le nouveau signal et ce sera ta dernière chance de l' envoyer.
Phillips avec un rire changea le signal en SOS. Phillips devait s' attendre à être contacté rapidement par le californian dont l' opérateur lui avait explosé dans les oreilles mais l' opérateur était juste allé se coucher pour la nuit après avoir éteint son équipement. Pendant qu' il attendait une réponse de son SOS Phillips échangea des plaisanteries avec Bride qui dira plus tard "Nous avons dit beaucoup de choses amusantes à l' un et l' autre pendant plusieurs minutes. Nous avons été contacté en premier par le Frankfurt. Nous lui avons donné notre position et avons dit que nous avions heurté un iceberg et avions besoin d' assistance. L' opérateur du Frankfurt est allé le dire à son capitaine".
Le Carpathia a répondu à notre appel, 5 min après il virait de bord et se dirigeait vers nous.
Scène du pont
Notre capitaine s' en allait à ce moment là et Phillips m' a dit de courir et de lui dire que le Carpathia avait répondu. Je l' ai fait et je suis passé devant une masse terrible de gens dans sa cabine. Le pont était rempli d' hommes et de femmes. Je suis retourné et j' ai entendu Phillips donner au carpathia les indications complètes. Phillips m' a dit de passer des vêtements. Jusqu' à ce moment, j' avais oublié que je n' étais pas habillé. Je suis allé à ma cabine et me suis habillé. J' ai apporté un pardessus à Phillips, il faisait très froid, je l' ai enfilé sur lui pendant qu' il travaillait. Toutes les 2 ou 3 min, Phillips m' envoyait auprès du Capitaine avec des petits messages. Ils disaient simplement comment le Carpathia venait à notre chemin et donnaient sa vitesse.
L' héroique télégraphiste
J' ai remarqué que les femmes et les enfants montaient dans les canots et que l' inclinaison par l' avant augmentait. Phillips m' a dit que le télégraphe faiblissait. Le capitaine est venu et nous a dit que la salle des machines prenaient l' eau. Nous avons envoyé cette information au Carpathia. "Vous avez fait votre devoir, vous ne pouvez plus rien faire. Je vous libère et c' est chacun pour soi maintenant. Je suis allé sur le pont et j' ai regardé autour de moi. L' eau était arrivé pratiquement sur le pont des embarcations. Il y avait une bousculade terrible sur le pont arrière. Mais Phillips arriva à se frayer un chemin. C' était un brave homme. J' ai ressenti une immense admiration pour lui qu' il continuait son travail pendant que le chaos reignait tout autour. Jamais je n' oublierai la tache accomplie par Phillips au cours de ces 15 dernières minutes.
Phillips continuait à envoyer et envoyer pendant 10 min ou peut-être 5. Tous les canots étaient partis. Puis alors que j' étais en train de prendre l' argent dans ma cabine, je vois un membre de l' équipage penchait derrière Phillips en train de lui prendre son gilet de sauvetage. Phillips était trop occupé pour se rendre compte de ce que l' homme faisait. L' homme était grand, comme vous pouvez voir, je suis petit, je ne savais pas comment le contrôler. J' ai pu tenir l' homme et Phillips lui a asséné de coups et nous l' avons laissé là. J' ai souhaité qu' il ait pu s' en sortir, j' ai fait mon devoir. Nous l' avons laissé dans la station radio, il ne bougeait plus.
L' eau arrivait dans notre cabine. Phillips a couru à l' arrière et ce fut la dernière fois que je l' ai revu. Je suis allé à l' endroit où j' avais vu le radeau pliable et à ma surprise, j' ai vu le bateau et les hommes essayant de le pousser. J' ai pensé qu' il n' y avait pas de marin, je suis monté et leur ai donné un coup de main quand une grande vague est venue innonder le pont. Elle a emporté le bateau, je m' y suis tenu et je suis parti avec. J' étais sous le bateau qui était retourné, je pouvais respirer malgré que j' étais sous l' eau. Je savais que je devais me battre et je l' ai fait. Comment je me suis retrouvé au dessus, je ne sais pas. Il y avait une centaine d' hommes autour de moi.
Le récit suivant a été rapporté par M. Bride, l' opérateur radio en second du Titanic, à notre journaliste du New-York Times en présence de Marconi qui est en ce moment à New-York.
J' ai rejoint le Titanic à Belfast. Je suis né à Nunhead, Londres il y a 22 ans et j' ai rejoint Marconi en juillet dernier. J' ai travaillé tout d' abord sur le Haverford et ensuite le Lusitania et j' ai été transféré sur le Titanic à Belfast. Je n' avais pas beaucoup à faire à bord du Titanic excepté relever Phillips, l' opérateur en chef, de minuit jusqu' au petit matin quand il avait fini de dormir. Il y avait 3 pièces dans la station radio. Une pour dormir, la pièce sourde et celle où on travaillait. J' ai enlevé mes vêtements et je suis allée me coucher. Ensuite je n' étais pas encore endormi et j' entendais Phillips envoyait à Cape Race. J' ai lu ce qu' il envoyait, c' était habituel. Je me suis rappelé à quel point il était fatigué et je suis sorti de mon lit sans mes vêtements pour le relever. Je n' ai même pas senti le choc. Je ne savais pas ce qui s' était passé jusqu' à ce que le capitaine vienne nous voir. Il n' y avait eu aucune secousse.
Le signal de détresse CQD
J' étais debout disant à Phillips d' aller se coucher quand le capitaine nous a dit
- Nous avons heurté un iceberg, j' ai fait faire une inspection, tenez vous prêt à envoyer le signal d' assistance mais ne l' envoyez pas jusqu' à ce que je vous le dise."
Le capitaine est parti et 10 minutes après il est revenu. Nous entendions une terrible confusion dehors mais il n' y avait pas le moindre signe qui indiquait un danger. Le télégraphe fonctionnait parfaitement.
- Envoyer l' appel d' assistance" a dit le capitaine, passant à peine sa tête à travers la porte.
- Quel appel dois-je envoyer ? demanda Phillips
- Le regulation international call for help ( CQD ), juste ça.
Ensuite le capitaine est parti. Phillips a commencé à envoyer le CQD. Nous plaisantions tandis qu' il envoyait le signal pendant environ 5 min puis le capitaine est revenu.
- Qu' envoyez-vous ?
- CQD a répondu Phillips.
Plaisanteries sur la collision
J' ai osé une petite remarque qui les a fait rire
- Phillips, change le en SOS, c' est le nouveau signal et ce sera ta dernière chance de l' envoyer.
Phillips avec un rire changea le signal en SOS. Phillips devait s' attendre à être contacté rapidement par le californian dont l' opérateur lui avait explosé dans les oreilles mais l' opérateur était juste allé se coucher pour la nuit après avoir éteint son équipement. Pendant qu' il attendait une réponse de son SOS Phillips échangea des plaisanteries avec Bride qui dira plus tard "Nous avons dit beaucoup de choses amusantes à l' un et l' autre pendant plusieurs minutes. Nous avons été contacté en premier par le Frankfurt. Nous lui avons donné notre position et avons dit que nous avions heurté un iceberg et avions besoin d' assistance. L' opérateur du Frankfurt est allé le dire à son capitaine".
Le Carpathia a répondu à notre appel, 5 min après il virait de bord et se dirigeait vers nous.
Scène du pont
Notre capitaine s' en allait à ce moment là et Phillips m' a dit de courir et de lui dire que le Carpathia avait répondu. Je l' ai fait et je suis passé devant une masse terrible de gens dans sa cabine. Le pont était rempli d' hommes et de femmes. Je suis retourné et j' ai entendu Phillips donner au carpathia les indications complètes. Phillips m' a dit de passer des vêtements. Jusqu' à ce moment, j' avais oublié que je n' étais pas habillé. Je suis allé à ma cabine et me suis habillé. J' ai apporté un pardessus à Phillips, il faisait très froid, je l' ai enfilé sur lui pendant qu' il travaillait. Toutes les 2 ou 3 min, Phillips m' envoyait auprès du Capitaine avec des petits messages. Ils disaient simplement comment le Carpathia venait à notre chemin et donnaient sa vitesse.
L' héroique télégraphiste
J' ai remarqué que les femmes et les enfants montaient dans les canots et que l' inclinaison par l' avant augmentait. Phillips m' a dit que le télégraphe faiblissait. Le capitaine est venu et nous a dit que la salle des machines prenaient l' eau. Nous avons envoyé cette information au Carpathia. "Vous avez fait votre devoir, vous ne pouvez plus rien faire. Je vous libère et c' est chacun pour soi maintenant. Je suis allé sur le pont et j' ai regardé autour de moi. L' eau était arrivé pratiquement sur le pont des embarcations. Il y avait une bousculade terrible sur le pont arrière. Mais Phillips arriva à se frayer un chemin. C' était un brave homme. J' ai ressenti une immense admiration pour lui qu' il continuait son travail pendant que le chaos reignait tout autour. Jamais je n' oublierai la tache accomplie par Phillips au cours de ces 15 dernières minutes.
Phillips continuait à envoyer et envoyer pendant 10 min ou peut-être 5. Tous les canots étaient partis. Puis alors que j' étais en train de prendre l' argent dans ma cabine, je vois un membre de l' équipage penchait derrière Phillips en train de lui prendre son gilet de sauvetage. Phillips était trop occupé pour se rendre compte de ce que l' homme faisait. L' homme était grand, comme vous pouvez voir, je suis petit, je ne savais pas comment le contrôler. J' ai pu tenir l' homme et Phillips lui a asséné de coups et nous l' avons laissé là. J' ai souhaité qu' il ait pu s' en sortir, j' ai fait mon devoir. Nous l' avons laissé dans la station radio, il ne bougeait plus.
L' eau arrivait dans notre cabine. Phillips a couru à l' arrière et ce fut la dernière fois que je l' ai revu. Je suis allé à l' endroit où j' avais vu le radeau pliable et à ma surprise, j' ai vu le bateau et les hommes essayant de le pousser. J' ai pensé qu' il n' y avait pas de marin, je suis monté et leur ai donné un coup de main quand une grande vague est venue innonder le pont. Elle a emporté le bateau, je m' y suis tenu et je suis parti avec. J' étais sous le bateau qui était retourné, je pouvais respirer malgré que j' étais sous l' eau. Je savais que je devais me battre et je l' ai fait. Comment je me suis retrouvé au dessus, je ne sais pas. Il y avait une centaine d' hommes autour de moi.
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"Que le plaisir qu'elle procure éteigne mon corps et le feu de mon âme à tout jamais"
Mon site sur Jack Phillips : http://jackphillips-titanic.e-monsite.com/
Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Félicitations pour la traduction. C'est très intéressant en tout cas !
Damien- Messages : 781
Inscrit le : 13/11/2006
Localisation : Figure de proue lol
Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Merci, j' aurai du mettre la traduction complète. Je trouve ça drôle qu' Harold avait complètement oublié qu' il était encore en pyjama pendant qu' il parlait au Capitaine ou se rendait sur le pont.
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
La fumée et des étincelles s' échappaient des cheminées. Il y avait du avoir une explosion mais nous n' avons rien entendu. Nous avons seulement vu un flot d' étincelles. Le bateau se tournait comme un canard qui descend comme un piquet. J' ai seulement gardé une chose en mémoire. L' orchestre jouait toujours. Je devine que tout l' orchestre était descendu. Ce sont des héros. Ils jouaient toujours "Autumn". Ensuite j' ai nagé de toutes mes forces. Je suppose que j' étais à 150 ft du titanic qui commençait à s' enfoncer. Je n' ai plus senti le moindre effet d' aspiration. Il a du continuer à descendre, je l' ai senti un peu quand il a coulé. Il faisait très froid. J' ai vu un bateau proche de moi et j' ai mis toute ma force pour nager jusqu' à lui.
C' était très difficile et j' ai failli abandonné quand une main m' a attrapé et m' a hissé à bord. C' était le même radeau pliant et les mêmes personnes dessus. Il y avait juste une place pour moi, quelqu' un s' est assis sur mes jambes. Elles étaient coincées entre les planches qui étaient arrachées. Je n' avais pas le coeur de demander à l' homme de se déplacer. Il y avait un spectacle terrible tout autour de nous, des hommes nageant et coulant. J' ai vu des lumières au loin et su que c' était un navire qui allait nous venir en aide. Je ne m' inquiétais plus de ce qui se passait. J' ai étendu mes jambes et eu le souffle coupé par la douleur provenant de mes pieds. Je la ressens toujours.
Enfin le Carpathia est arrivé les gens y montaient à l' aide d' une échelle. Ils se sont approchés de notre bateau et ont prit un homme qui était mort. Je suis allé voir bien que mes pieds me faisaient souffrir. L' homme mort était Phillips. Il est mort dans le bateau de peur et de froid. Mais j' ai à peine pensé à lui, je ne pensai pas à grand chose. J' essayai de monter l' échelle. Mes pieds me faisaient souffrir terriblement mais j' y arrivai quand j' ai senti des mains ... j' ai pas compris le reste de la phrase Je sais qu' une femme se penchait au dessus de moi et j' ai senti sa main dans mes cheveux et frotter mon visage. J' ai senti quelqu' un à mes pieds et l' odeur de l' alcool. Quelqu' un m' a prit par les bras et ensuite j' ai été transporté à l' infirmerie. Il était très tôt. Je pense que j' ai dormi jusqu' à ce que la nuit tombe quand on m' a appelé pour que j' aide l' opérateur radio, débordé. Ensuite, je ne suis pas sorti de la station radio donc je ne sais pas ce qui est arrivé aux passagers.
C' était très difficile et j' ai failli abandonné quand une main m' a attrapé et m' a hissé à bord. C' était le même radeau pliant et les mêmes personnes dessus. Il y avait juste une place pour moi, quelqu' un s' est assis sur mes jambes. Elles étaient coincées entre les planches qui étaient arrachées. Je n' avais pas le coeur de demander à l' homme de se déplacer. Il y avait un spectacle terrible tout autour de nous, des hommes nageant et coulant. J' ai vu des lumières au loin et su que c' était un navire qui allait nous venir en aide. Je ne m' inquiétais plus de ce qui se passait. J' ai étendu mes jambes et eu le souffle coupé par la douleur provenant de mes pieds. Je la ressens toujours.
Enfin le Carpathia est arrivé les gens y montaient à l' aide d' une échelle. Ils se sont approchés de notre bateau et ont prit un homme qui était mort. Je suis allé voir bien que mes pieds me faisaient souffrir. L' homme mort était Phillips. Il est mort dans le bateau de peur et de froid. Mais j' ai à peine pensé à lui, je ne pensai pas à grand chose. J' essayai de monter l' échelle. Mes pieds me faisaient souffrir terriblement mais j' y arrivai quand j' ai senti des mains ... j' ai pas compris le reste de la phrase Je sais qu' une femme se penchait au dessus de moi et j' ai senti sa main dans mes cheveux et frotter mon visage. J' ai senti quelqu' un à mes pieds et l' odeur de l' alcool. Quelqu' un m' a prit par les bras et ensuite j' ai été transporté à l' infirmerie. Il était très tôt. Je pense que j' ai dormi jusqu' à ce que la nuit tombe quand on m' a appelé pour que j' aide l' opérateur radio, débordé. Ensuite, je ne suis pas sorti de la station radio donc je ne sais pas ce qui est arrivé aux passagers.
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Pour la phrase que tu n'as pas comprise (enfin ce qu'il en reste) c'est pas
" I got to the top, and felt hands reaching out to me" ???
Ben
" I got to the top, and felt hands reaching out to me" ???
Ben
Ben D.-
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Ben D. a écrit:Pour la phrase que tu n'as pas comprise (enfin ce qu'il en reste) c'est pas
" I got to the top, and felt hands reaching out to me" ???
C' est tout à fait ça.
De toute façon j' ai tout mal traduit.
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Pour tout te dire, moi aussi j'ai du mal à traduire cette phrase, mais je vais m'y pencher, on verra ce que je vais trouver !
Ben
Ben
Ben D.-
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Toujours aussi intéressant !
Damien- Messages : 781
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Sha're j'ai pris l'initiative de traduire le texte en entier, ça va prendre du temps puisqu'il ne s'agit pas d'un des mes devoirs scolaires, mais juste un moment de "distraction" et d'apprentissage pour moi ... J'ai commencé et je peux te dire que tu n'as pas du tout mal traduis ...
En même temps, j'ai pas encore terminé la première page !
Mais je ferrais corriger (du moins j'essaierais) ça par ma prof d'anglais, je suis sûr qu'elle sera d'accord pour le faire vu qu'elle me soutiens assez pour l'anglais ... ça ne devrait pas poser de soucis ... en plus, ça pourrait peut être lui donner des idées de thème de leçon vu que le texte (à par certaines choses) n'est pas trop compliqué !
Voilà voilà ! Mais cela risque de prendre un certain temps
Ben
En même temps, j'ai pas encore terminé la première page !
Mais je ferrais corriger (du moins j'essaierais) ça par ma prof d'anglais, je suis sûr qu'elle sera d'accord pour le faire vu qu'elle me soutiens assez pour l'anglais ... ça ne devrait pas poser de soucis ... en plus, ça pourrait peut être lui donner des idées de thème de leçon vu que le texte (à par certaines choses) n'est pas trop compliqué !
Voilà voilà ! Mais cela risque de prendre un certain temps
Ben
Dernière édition par le Sam 2 Juin 2007 - 20:47, édité 1 fois
Ben D.-
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
C' est très sympa. Merci à toi.
Tu as pris le texte de Encyclopedia Titanica ?
Tu as pris le texte de Encyclopedia Titanica ?
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Salut !
Oui mdame , c'est ce texte là, celui qui fait un peu plus de trois pages
Ben
Oui mdame , c'est ce texte là, celui qui fait un peu plus de trois pages
Ben
Ben D.-
Age : 34
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Bonjour !
Bonne nouvelle, j'ai vu ma prof d'anglais à 14.30 et je lui ai tout expliqué et elle serait ravie de pouvoir m'aider ! Donc je fais la traduction, et je la lui donnerai à corriger !!!
J'ai aussi la traduction que tu avais du mal à faire !
Mais ça ... c'est pour quand tout sera fini !!
Ben
Bonne nouvelle, j'ai vu ma prof d'anglais à 14.30 et je lui ai tout expliqué et elle serait ravie de pouvoir m'aider ! Donc je fais la traduction, et je la lui donnerai à corriger !!!
J'ai aussi la traduction que tu avais du mal à faire !
Mais ça ... c'est pour quand tout sera fini !!
Ben
Dernière édition par le Sam 2 Juin 2007 - 20:48, édité 1 fois
Ben D.-
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
C'est sympa ! Merci Ben !
Damien- Messages : 781
Inscrit le : 13/11/2006
Localisation : Figure de proue lol
Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Salut !
Un peu de nouveau, j'ai rendu ce matin la première partie de la traduction (un peu plus longue que la version de Sha're) ... Ma prof m'a prévenu que le moment les conseils de classe se faisaient en ce moment et qu'elle va mettre du temps entre son travail et sa vie perso (je pense) donc voilà, mais je continues de mon côté !
Par contre, vous aurez toute la traduction en un message ...
J'espère pouvoir vous la donner d'ici quelques semaines (car j'ai aussi mon travail à côté) vraiment désolé !
Ben
Un peu de nouveau, j'ai rendu ce matin la première partie de la traduction (un peu plus longue que la version de Sha're) ... Ma prof m'a prévenu que le moment les conseils de classe se faisaient en ce moment et qu'elle va mettre du temps entre son travail et sa vie perso (je pense) donc voilà, mais je continues de mon côté !
Par contre, vous aurez toute la traduction en un message ...
J'espère pouvoir vous la donner d'ici quelques semaines (car j'ai aussi mon travail à côté) vraiment désolé !
Ben
Ben D.-
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Re: Le récit d'Harold Bride au New-York Times
Prend ton temps Ben, il n' y a rien de pressé.
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