Jeu des questions

Peut-être que cela assurait une meilleure flottabilité ?

Non, c'est pas ça.

Autre solution que j'avais supposée, comme tu as dit que c'était la même chose que sur les toit ; pour faciliter l'écoulement des eaux (de pluie notamment) et éviter qu'elles n'abiment le canot. En plus ça aurait facilité l'entretien.

C'est pas ça non plus.

Dernière hypothèse née pendant la nuit : le bois gonfle avec l'eau. Disposé ainsi, cela évitait peut être une déformation qui aurait été fatale à l'embarcation ? (Si c'est pas ça je laisse les autres jouer : je vois plus d'autre solution pour l'instant )

C'est pas ça non plus. Solution dans l'après-midi si personne n'a trouvé d'ici-là.

Réponse à l'énigme :

En construction navale, un bateau est fait d'une quille sur laquelle on élève des membres qui soutiennent le bordé. On peut comparer cette disposition à un squelette dans lequel la quille correspondrait à la colonne vertébrale, les membres aux côtes et le bordé à la peau.
Comme le bateau doit avoir une certaine rigidité, on multiplie le nombre de membres (600 pour la coque du Titanic). Le problème est que cette ossature pèse lourd. Pour l'alléger sans compromettre la rigidité, on borde à clin en recouvrant partiellement les bordages. Pour vous rendre compte de la rigidité obtenue, prenez une feuille de papier cartonné. Courbez-là et collez une autre feuille sur la première en maintenant la courbe pendant le séchage. Vous serez surpris de la rigidité obtenue.
Dans le cas des canots, on pouvait donc diminuer le nombre de membres en bordant à clin. Cela permettait d'obtenir des embarcations robustes et légères, ce qui était important pour un canot de sauvetage. Autre avantage : le clin faisait office de quille de roulis, ce qui diminuait les mouvements latéraux du canot. Il y avait quand même un inconvénient (il en fallait bien un) : ce type de construction ne convenait pas aux navires en bois de grande taille puisque les bordages devaient courir de l'avant à l'arrière en une seule pièce.

Autre question plus facile celle-ci :
Quel nom les marins donnaient-ils au transmetteur d'ordres ?

Le Chadburn.

Canard-jaune a écrit:Le Chadburn.

Bravo, mais en devenant un nom commun, l'invention de monsieur Chadburns a perdu son s et sa majuscule. A toi de jouer.

Youpi!

Belfast - Liverpool - Londres - Southampon - Cherbourg - Queenstown - New-York - Halifax
Il faut trouver l'erreur et expliquer en quoi c'est une erreur. (:

Je dirais Londres puisque c'est la seule pas liée au Titanic :
- Belfast : il y a été construit
- Liverpool : c'est sa ville d'immatriculation
- Southampton : il y est parti
- Cherbourg/Queenstown : il y est passé
- New York : il aurait dû y arriver
- Halifax : les cimetières du Titanic

Sauf que si je ne m'abuse, la commission britannique sur le Titanic s'est déroulée à Londres, non ? :p

Bien joué Antoine, c'était Londres!

Voici ma question. Il s'agit d'un personnage que vous retrouverez facilement en fouillant sur le forum ; personnage très particulier. Il se faisait appeler Baron Alfred von Drachstedt, avait un billet de 2e classe mais avait réussi à monter en première, et avait un caractère très spécial. Parti dans le premier canot, il tirait des coups de révolver en l'air ; et arrivé sur le Carpathia, il se distingue par son absence d'attention pour les autres... Mais quel est son vrai nom ?

Le passager Alfred Nourney ?

Joris

Exact, un sacré bonhomme (plus d'infos ici)

A toi de poser ta colle !