Empress of ireland il y a cent ans

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Message  Simon1976 Jeu 29 Mai 2014 - 19:40

http://ici.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2014/05/29/001-empress-of-ireland-commemorations-100-ans.shtml

Et une page Wikipédia pour plus d'informations:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Empress_of_Ireland
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Message  henry kendall Dim 1 Juin 2014 - 15:53

Voici l'un des premier témoignage que je vous poste aujourd'hui  clin 




Empress of ireland il y a cent ans - Page 2 Frankabbott  Frank Ernest Abbott
 `
Frank Ernest Abbott, est né à Liverpool, en Angleterre, en 1872. Son père, Joseph Abbott, était directeur du Wavertree Collegiate School. Frank et son frère Arthur devinrent apprentis dans le domaine de la création de chapeaux.

En 1908, Frank émigra au Canada avec sa femme Edith. Arthur le suivit peu de temps après, avec sa femme Carrie, et les deux frères fondèrent une entreprise qui devait devenir une prospère maison de modistes, Abbott Bros., à Toronto. Ils se relayaient pour voyager à travers l’Europe à la recherche de nouvelles inspirations et de nouveaux tissus pour leurs créations.

En 1914, c'était le tour de Frank, qui avait à ce moment 42 ans. Il embarqua sur l’Empress of Ireland à Québec le 28 mai, laissant derrière lui sa femme Edith et sa petite fille Dorothy.


Le nom de Frank apparait sur la liste des passagers de première classe. Lors du naufrage, il réussit à survivre en nageant et en s’agrippant à un débris qui flottait. Il fut finalement rescapé et ramené sur la terre ferme, encore vêtu de son pyjama rayé!
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Message  nicober Mer 11 Juin 2014 - 7:34

Bonjour à tous et à toutes

Joris a écrit:Le drame s'est produit en quatorze minutes. Deux ans après le naufrage du Titanic, il y avait désormais assez de canots pour tout le monde sur tous les bateaux mais aucun n'a pu vraiment être utilisé ce soir là vu la rapidité du naufrage. 1012 personnes ont perdu la vie.

L'Empress of Ireland et les chaloupes de sauvetages.  


Construit en 1906 l'Empress of Ireland était doté de 16 chaloupes pouvant contenir 764 personnes. 7 Chaloupes de chaque côté du pont des embarcations et 2 de plus à l'arrière. Il satisfaisait ainsi à la fameuse norme du Board of Trade pour les navires de plus de 10,000 tonnes. Or l'Empress pouvait embarquer 1057 passagers et 420 membres d'équipage.

Suite à la tragédie du Titanic en 1912, tous les navires de passagers sous pavillon britannique durent augmenter le nombre de canots pour au moins contenir toutes les personnes à bord. Sur l'Empress on haussa les bossoirs des canots de sauvetages réguliers afin d'y placer sous chacune des embarcations repliables de type "Englehardt".  Au total 20 furent ajouter pouvant contenir 920 personnes. En plus on ajouta aussi 4 chaloupes repliables de type "Berthon" pour 176 personnes de plus.  Théoriquement 1860 pouvant être sauvées comparativement à une capacité totale de 1550 personnes à bord. Encore, comme il a été relaté, fallait-il pouvoir les mettes à l'eau. En plus il y avait 2200 gilets de sauvetages certifiés (B of T) dont 150 pour les enfants. Ajoutez à cela 24 bouées de sauvetage que l'on pouvait lancer par dessus bord pour secourir quelqu'un tombé à la mer.

Tout cela paraissait adéquat mais comme tous gens de mer le savent, il faut des marins expérimentés pour les dégager, les descendre, faire monter à bord des passagers apeurés, maladroits et les diriger convenablement sur une mer parfois agitées. Le CPR avait engagé le Capt Hugh Staunton, anciennement de la ligne Orient, pour entrainer les équipages et faire des inspections régulières sur tous les navires de la compagnie qui se trouvaient tant dans l'Atlantique que dans le Pacifique. Le 15 mai 1914 à Liverpool, lors d'une inspection du B of T, le major Maitland Kersey directeur des services océanographiques pour le CPR déclarait que toutes les embarcations furent mise à l'eau en moins d'une minute.  Les entrainements en mer étaient réguliers. A Québec lors de son dernier escale le Capt. Henry Kendall commanda 3 exercices et au cours de l'un d'eux, non seulement on descendit les chaloupes, mais l'équipage s'est entrainé à les manoeuvrer sur le fleuve.  Cet entrainement rigoureux allait porter fruit quelques heures plus tard seulement.

Lors de cette nuit fatidique, à peine l'abordage venait-il de se produire que Kendall ordonna à son premier officier Edward Jones de se rendre aux chaloupes gauches. Ce dernier laissa tomber son pardessus et dégagea avec ses hommes 3 chaloupes et arrivé à la 4e, la numéro 7, la gite étant de plus en plus forte, il dû monter sur la rambarde pour essayer de la dégager et à ce moment fut projeté à l'eau. Recueilli par une des chaloupes, il en prit le commandement. Jones fut le seul officier, à part le Capt. Kendall, à s'en sortir vivant. Ce que l'on sait des autres chaloupes sans toutefois préciser de quels bords elles étaient. C'est que l'une d'elle au moment de la descente, une extrémité lâcha,  déversant dans le fleuve glacé tout ses occupants, d'après un témoin Fergus Duncan. Une autre aurait été écrasée par l'une des grosse cheminée de l'Empress lorsqu'il chavira ou encore fut écrasée par le bord du navire lorsque ce dernier roula sur eux, ne donnant aucune chance à ceux qui l'occupaient. D'après John P. Black, une autre fut frappée de plein fouet par un objet provenant des parties supérieures du paquebot.  Un stewart nommé Percy Gee occupant cette chaloupe affirma qu'à ce moment on était occupé à dégager cette chaloupe des débris qui flottaient, c'est alors qu'il vit une chaloupe de type "Englehart" tomber droit sur eux, il n'eut que le temps de se jeter à l'eau pour ne pas être écrasé par celle-ci qui provenait du côté gauche du navire. Il est peut probable que des chaloupes du côté droit aient été descendues. On les dégagea de leurs bossoirs mais la forte inclinaison les ramenaient vers l'intérieur et non vers la mer. On ne saura jamais combien de chaloupes furent réellement mise à l'eau par l'équipage cette nuit là, car plusieurs se dégagèrent d'elles-mêmes et lorsque tout fut terminé, on les abandonna toutes à la dérive sur le fleuve.  Elles ne furent recueillies que les jours suivants.

Le Capt. Henry Kendall était sur la passerelle au moment de l'accident. Il demeura à son poste durant toute l'agonie de l'Empress. S'agrippant d'une main à la rambarde et de l'autre hurlant ses ordres avec un mégaphone. Il coula avec son navire. Il fut projeté à la surface disait-il par un fort jet de vapeur. Plusieurs affirmèrent quant à eux, dont le chef mécanicien William Sampson, que lorsque le navire sombra il y eut une forte explosion. Cela demeure un mystère bien que les deux hommes de mer s'y connaissent. Mais le chef mécanicien me parait bien mieux placé que qui compte pour déterminer si cela est dû à une explosion, fort probable d'une ou des chaudières. Kendall en remontant à la surface s'agrippa à une épave et fut recueilli par une de ses chaloupes peu de temps après et il en prit le commandement. Malgré qu'il soit trempé, il fit 3 voyages vers le charbonnier,  comme tous les autres. Le premier de ses voyages, les chaloupes arrivèrent pleines ras le bord de survivants, le second avec à peine une dizaine de rescapés, sauf une qui fut plus heureuse avec une quarantaine. Mais aux derniers voyages toutes les chaloupes cherchèrent en vain une trace de vie quelconque dans l'obscurité totale, parmi les débris et les corps flottants. C'était le silence totale et tout espoir de retrouver encore un survivant s'évanouit et ils retournèrent vides au charbonnier.

Du côté du Storstad on se rapprocha lentement du lieu où agonisait l'Empress, car il en était éloigné d'environ 2 miles nautiques. A un mile environ, le Capt Andersen ordonna à tout son équipage de mettre ses 4 chaloupes à la mer pour participer aux recherches. L'exécution fut très rapide, tellement que plusieurs marins norvégiens étaient torses nus dans la nuit froide et que même un officier n'était vêtu que d'un simple caleçon. Personne parmi les rescapés ne sembla s'en plaindre. Seulement quelques passagers réussirent l'exploit de regagner le Storstad à la nage mais bien peu. Les marins restés à bord descendirent des échelles de bois et de cordes ou tout ce qu'il pouvait et aidèrent à faire monter à bord les rescapés. Heureusement que la lourde cargaison de charbon calait le navire bas sur l'eau et que ses rambardes n'étaient qu'à seulement quelques pieds au dessus du niveau de la mer. Malgré tout certains étaient si mal en point qu'il fallut les palanter comme des sacs pour les faire passer à bord. Contrairement à ce qu'affirma Kendall, que seul les chaloupes de l'Irlande avaient sauvés les naufragés, les hommes du charbonnier firent tout ce qui était possible pour en sauver un certain nombre.  Peu importe ce que la presse, qui leur était très hostile, rapporta dans les jours qui suivirent le drame, ceux-ci n'ont jamais été indifférent au sort des infortunés naufragés de l'Empress.  Sur le Storstad où s'entassait maintenant plus de 400 personnes, on donna tout ce que l'on avait. La réserve d'alcool du Capt. Anderson y passa, les belles tentures de Mme Anderson ainsi que toute sa nouvelle garde-robe servirent de vêtements de fortune et tout l'équipage donna ce qu'il avait, car la plus part des naufragés n'avaient plus rien à se mettre sur le dos. Certains même utilisèrent des sacs de jutes pour transborder le charbon, en perçant des trous pour la tête et les bras pour se vêtir. Heureusement le Lady Evelyn et l'Eureka arrivèrent entre temps et transportèrent tous les naufragés vers Rimouski, plus éloigné au lieu de Pointe-au-Père, malgré les protestations de plusieurs, qu'il faut le comprendre en avaient ras le bol du fleuve. Mais cela était une sage décision car Rimouski avait plus à offrir pour le secours de ces malheureux que la petite bourgade de Pointe-au-Père. Malgré cela quelques uns moururent soit en cours de route ou arrivés à Rimouski, le choc et l'épuisement étant trop grand.

A la fin de l'enquête publique qui s'est déroulé à Québec au mois de juin on avait rien à redire concernant le comportement des deux équipages après l'accident. Me Aspinall qui représentait les intérêts du CPR aux audiences en conclus que seulement 5 chaloupent furent réellement mises à l'eau et servirent au sauvetage des naufragés.

Plusieurs s'étonneront du fait que le Capt. Kendall fut sauvé bien avant plusieurs autres naufragés.  Mais dans l'obscurité et le brouillard on ne pouvait voir grand chose qu'une fois arrivée tout près d'une personne qui se débattait dans les eaux froides du Saint-Laurent. Alors on la faisait monter à bord de la chaloupe peu importe son statut et next au suivant, il n'y avait réellement pas de temps à perdre si on voulait en sauver le plus possible. Certains étaient si gelés et engourdis qu'ils n'étaient même pas en mesure de saisir quoi que ce soit, d'autres avaient des membres de brisés, alors il fallait les agripper pour les monter à bord. L'officier Jones lors de son premier aller vers le Storstad, avec une chaloupe pleine à craquer, entendit les cris désespérés d'une femme, malgré les protestations des occupants, qui faut bien les comprendre n'avaient nullement envie de retourner à la flotte, fit valoir son autorité. Il fit tourner en rond la chaloupe et trouva enfin cette pauvre dame qu'il recueilli et ramena au charbonnier. Il savait très bien qu'au retour il ne pourrait la retrouver.

Tout ceci est tiré du livre de James Croall "Quatorze Minutes" considéré comme une référence de premier ordre sur ce naufrage, car il y eut bien peu d'ouvrages sur le sujet.

En gros ce qui s'est réellement passé cette nuit là avec les chaloupes de sauvetage des deux navires.

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Message  Mathusalem Mer 18 Oct 2017 - 8:57

Excellent documentaire, hier soir (17 octobre 2017) sur la chaîne Histoire.
https://www.replay.fr/sombre-dans-l-oubli-l-histoire-de-l-empress-of-ireland-histoire-3267721

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Message  Joris Lun 17 Juin 2024 - 21:23

Il y a 3 semaines, le 29 mai dernier, nous commémorions les 110 ans du drame de l'Empress of Ireland.

Empress of ireland il y a cent ans - Page 2 Ngay-n10

Le Site historique maritime de la Pointe-au-Père à Rimouski au Québec a commémoré, du 29 mai au 2 juin dernier, le naufrage de ce paquebot qui a sombré au large de Sainte-Luce-sur-Mer, dans le fleuve, en 14 minutes, le 29 mai 1914, quelques semaines avant le début de la Première Guerre mondiale.

Pour l’occasion, l’accès au Musée Empress of Ireland était gratuite le week-end du 1er juin.

Au programme des commémorations : spectacle de la fanfare de l’Armée du Salut, circuits guidés en autocar avec l’historien David Saint-Pierre, des animations et une exposition temporaire.

Cette exposition, située dans le hall du Musée Empress of Ireland, a présenté, pour la toute première fois au Canada, un objet particulier : le maillet cérémoniel de lancement en ivoire de l’Empress of Ireland, et son coffret en argent.
Ces deux objets ont été acquis au Royaume-Uni par la Société d’histoire du Bas-Canada. Sur le coffret, on reconnaît l’Empress of Ireland lui-même, le Parlement canadien, le symbole de l’Irlande ainsi que les armoiries du chantier naval et celles du Canadien Pacifique. Ces objets témoignent d'une tradition maritime méconnue, soit celle d'offrir un objet à un parrain ou à une marraine du navire lors de la célébration de sa mise à l'eau.

Empress of ireland il y a cent ans - Page 2 Guy-da10

À l'époque, ces artefacts avaient été offerts à Katherine Gracie, la femme du directeur du chantier Fairfield, à Glasgow, où l'Empress of Ireland a été construit entre 1905 et 1906. La famille de la marraine de l'Empress of Ireland a conservé les objets pendant plus de 118 ans, avant qu'ils ne soient rachetés par les fondateurs de la Société d'histoire du Bas-Canada, Guy D'Astous et Pierre Champagne.

« J'ai vu l'objet l'an dernier sur un site web d'encan, raconte M. D'Astous. Personne ne savait que ça existait ». Le passionné d'histoire s'est rapidement mis en action pour acquérir l'objet, qu'il a obtenu au coût d'environ 25 000 $.
Ça a été une saga entre le gouvernement britannique et canadien afin d'obtenir un permis de vente, un permis d'exportation et un permis d'importation, explique-t-il.
Cinq mois se sont écoulés avant qu'il n'obtienne le maillet. Il décrit ensuite son émotion lorsqu'il l'a enfin reçu.

Empress of ireland il y a cent ans - Page 2 Maille10

Empress of ireland il y a cent ans - Page 2 Empres10

Un artefact du Storstad, le navire norvégien qui est entré en collision avec l'Empress et qui a aussi sauvé des passagers et membres d’équipage, a également été présenté. Il s'agit d'une nappe en laine, qui a servi à réchauffer un naufragé et qui a été conservée pendant 110 ans par l’Armée du Salut.

Empress of ireland il y a cent ans - Page 2 E-of-i10

« Comme à chaque commémoration du naufrage, nous sommes heureux de compter sur la présence de descendants de passagers et membres d’équipage du navire. Soulignons la présence de Martina Erzinger dont le grand-père, survivant du naufrage, fut hébergé par la famille Marois de Rimouski tout de suite après la tragédie. Mike Babiski, qui offrira des animations sur les habits de plongée en scaphandre de type pied lourd, est, quant à lui, descendant du passager Wasili Babiski qui n’a pas survécu », indique le relationniste du Site, Martin Debofle, peu avant l'ouverture de l'expo.

Le Musée Empress of Ireland a ouvert en 1980 et poursuit depuis sa vocation dans la conservation et la mise en valeur de l’histoire du navire. C’est grâce aux plongeurs, aux collectionneurs, aux descendants et aux différents partenaires culturels que la mémoire de cette histoire est toujours vivante au sein du Site historique maritime de la Pointe-au-Père.

Sources : L'Horizon, Mon Témiscouata, Journal Le Soir, Radio-Canada.

Vidéo à 1min50 : https://ici.radio-canada.ca/info/videos/1-8953161/deux-objets-lies-a-empress-of-ireland-devoiles-110-ans-plus-tard

Hommage aux disparus de cette catastrophe maritime qui a fait plus de 1 000 victimes coeur

En outre, en septembre dernier, une équipe composée du chasseur d’épaves Samuel Côté, du capitaine Michael Blackburn et des plongeurs Lysanne Des Landes et Francis Pouliot a récemment localisé une structure massive en bois provenant de l’Empress of Ireland. La pièce a été retrouvée à deux kilomètres de l’épave du paquebot.

« On parle ici d’un travail d’une extrême précision compte tenu de la petitesse de la cible. C’était comme chercher une aiguille dans une étable remplie de foin. Nous sommes très fiers de cette découverte », mentionne Samuel Côté.

Selon l’historien David Saint-Pierre, il s’agit de la plateforme de compas qui était située au-dessus de la timonerie. « Cette structure qui n’apparaît pas sur les plans initiaux du paquebot a été ajoutée à la demande du Canadien Pacifique, peu de temps après son voyage d'essai, en 1906. À défaut d’avoir des photos claires de cette plateforme, nous savons maintenant précisément à quoi elle ressemblait grâce aux images sous-marines », précise-t-il. En 1964, l’habitacle abritant le compas magnétique monté sur un fût en bois qui se trouvait sur la plateforme a été récupéré par les découvreurs de l’épave.

Empress of ireland il y a cent ans - Page 2 Empres11

Au milieu des années 1990 (avant la protection de l'épave de l'Empress of Ireland), deux plongeurs de la région de Rimouski ont remonté de peine et de misère à la surface cette structure massive en bois. En remorquant la pièce vers la terre ferme avec leur zodiac, ils ont connu des difficultés les obligeant à couper les câbles de remorquage.
L’un des deux plongeurs a eu la présence d'esprit de noter la position. Il y a quelques mois, ce même plongeur a partagé la position à Samuel Côté. La pièce a été repérée à quelques centaines de pieds de la position présumée sur un fond sableux, à plus de 100 pieds de profondeur. La plateforme en bois de teck mesure environ huit pieds de longueur par huit pieds de largeur et ses huit pattes travaillées pointent vers le haut. « La plateforme est dans un état de conservation remarquable, malgré un séjour de plus de 109 ans dans l’eau. À mon humble avis, cette pièce imposante mériterait d'être exposée dans un musée », indique Samuel Côté.



Source : Info Dimanche.

Joris

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Le Titanic coulait il y a cent douze ans le 15 avril 1912. Une catastrophe maritime que rien
ne laissait prévoir et qui coûta la vie à plus de 1500 personnes.
Une pensée pour toutes les victimes de cet événement tragique qui a eu lieu il y a un siècle
et n'oublions jamais... coeur

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Message  MarieLéonor Dim 23 Juin 2024 - 13:14

Une pensée pour les victimes de l'Empress of Ireland, encore une triste tragédie Smile
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