La bonne société et les langues étrangères
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La bonne société et les langues étrangères
Je n'ai trouvé nulle trace de ce sujet sur le forum.
On a vu que le Titanic était un véritable concentré de nationalités diverses.
Je voudrais m'attarder justement sur cette bonne société de l'époque: celle qui aime voyager durant des mois à travers l'Europe et le monde dans un but d'agrément.
Je pense notamment à Margareth Brown et J.J Astor et son épouse Madeleine.
Ils avaient, bien évidemment, reçu la meilleure des éducations et je me demandais si l'un ou l'autre parlaient des langues étrangères et plus particulièrement le français ?
On sait que la fille de Margareth Brown étudiait à la Sorbonne et Molly était déjà venue en France à l'époque où elle était avec Mr Brown. Elle y retourne pour visiter sa fille en 1912 avant d'aller en Egypte avec elle où elles rencontrent le couple Astor. De retour à Paris, elle y séjourne jusqu'à ce qu'elle soit contrainte de rentrer précipitamment.
Idem pour les Astor qui prennent le paquebot à l'escale de Cherbourg après leur tour d'Europe 1911/1912.
Alors, dans ces deux cas-ci, habitués à fréquenter la France, Astor et Margareth Brown parlaient-ils le français ou l'anglais était-il déjà considéré, en 1912, comme langue internationale et il n'avaient pas l'utilité de connaitre une langue autre que l'anglais ?
A.T
On a vu que le Titanic était un véritable concentré de nationalités diverses.
Je voudrais m'attarder justement sur cette bonne société de l'époque: celle qui aime voyager durant des mois à travers l'Europe et le monde dans un but d'agrément.
Je pense notamment à Margareth Brown et J.J Astor et son épouse Madeleine.
Ils avaient, bien évidemment, reçu la meilleure des éducations et je me demandais si l'un ou l'autre parlaient des langues étrangères et plus particulièrement le français ?
On sait que la fille de Margareth Brown étudiait à la Sorbonne et Molly était déjà venue en France à l'époque où elle était avec Mr Brown. Elle y retourne pour visiter sa fille en 1912 avant d'aller en Egypte avec elle où elles rencontrent le couple Astor. De retour à Paris, elle y séjourne jusqu'à ce qu'elle soit contrainte de rentrer précipitamment.
Idem pour les Astor qui prennent le paquebot à l'escale de Cherbourg après leur tour d'Europe 1911/1912.
Alors, dans ces deux cas-ci, habitués à fréquenter la France, Astor et Margareth Brown parlaient-ils le français ou l'anglais était-il déjà considéré, en 1912, comme langue internationale et il n'avaient pas l'utilité de connaitre une langue autre que l'anglais ?
A.T
Invité- Invité
Re: La bonne société et les langues étrangères
Bonne idée, c'est un thème intéressant.
Concernant Margaret Brown, oui elle savait parler Français, mais aussi Russe et Allemand. Dès qu'elle en a eu les moyens, elle a fait des études, et elle aimait beaucoup les langues. Vers 1900, Margaret a d'ailleurs contribué à la traduction des livres de Mark Twain en Français (et en braille aussi), et sur le Carpathia elle a servit d’interprète francophone et germanophone pour établir les listes des survivants.
Pour en revenir à la France, elle s'est également beaucoup investie pendant la 1ère guerre mondiale sur le front en Picardie, où elle aidait à soigner les blessés. Sans compter sa passion pour le théâtre et plus particulièrement l'actrice Sarah Bernhardt dont elle rejouait elle-même sur scène les prestations. Enfin elle a reçue la légion d'honneur. Entre Margaret et la France, c'était une grande histoire d'amour.
Il me semble qu'effectivement la haute société devait être bilingue, voir trilingue, compte tenus de tous les voyages qu'ils faisaient.
Concernant Margaret Brown, oui elle savait parler Français, mais aussi Russe et Allemand. Dès qu'elle en a eu les moyens, elle a fait des études, et elle aimait beaucoup les langues. Vers 1900, Margaret a d'ailleurs contribué à la traduction des livres de Mark Twain en Français (et en braille aussi), et sur le Carpathia elle a servit d’interprète francophone et germanophone pour établir les listes des survivants.
Pour en revenir à la France, elle s'est également beaucoup investie pendant la 1ère guerre mondiale sur le front en Picardie, où elle aidait à soigner les blessés. Sans compter sa passion pour le théâtre et plus particulièrement l'actrice Sarah Bernhardt dont elle rejouait elle-même sur scène les prestations. Enfin elle a reçue la légion d'honneur. Entre Margaret et la France, c'était une grande histoire d'amour.
Il me semble qu'effectivement la haute société devait être bilingue, voir trilingue, compte tenus de tous les voyages qu'ils faisaient.
Tiphaine-
Age : 35
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Inscrit le : 09/07/2010
Localisation : Vallée de la Creuse
Re: La bonne société et les langues étrangères
Merci Tiphaine
Je pensais bien que quelqu'un saurait. J'imaginais effectivement la bonne société de 1912 plus "ouverte" sur les langues étrangères que ne peuvent l'être, disons les "stars" d'aujourd'hui, un peu plus fermés niveau langues étrangères.
Je vois que Molly Brown devait être une personne très intéressante à fréquenter et que, toute jeune, elle s'était déjà démarquée des autres femmes de la Belle Epoque, de part sa soif de culture et d'ouverture sur le monde.
Je ne sais pas si le film de Cameron est juste en faisant dire à Ruth DeWitt Bukater que le but de l'université est de chercher un bon mari (sous entendu: "vas à la fac, pour trouver ton mari et pas pour enrichir ton bagage culturel"). Si c'est bien le cas, Molly était déjà une "révolutionnaire" dans le genre.
On peut finalement voir un très bon parallèle avec Madeleine Astor qui, à 19 ans, était déjà mariée à un bon parti, enceinte (c'est ce qu'on attendait d'elle aussi) et donc dans l'inutilité finalement de faire des études.
A.T
Je pensais bien que quelqu'un saurait. J'imaginais effectivement la bonne société de 1912 plus "ouverte" sur les langues étrangères que ne peuvent l'être, disons les "stars" d'aujourd'hui, un peu plus fermés niveau langues étrangères.
Je vois que Molly Brown devait être une personne très intéressante à fréquenter et que, toute jeune, elle s'était déjà démarquée des autres femmes de la Belle Epoque, de part sa soif de culture et d'ouverture sur le monde.
Je ne sais pas si le film de Cameron est juste en faisant dire à Ruth DeWitt Bukater que le but de l'université est de chercher un bon mari (sous entendu: "vas à la fac, pour trouver ton mari et pas pour enrichir ton bagage culturel"). Si c'est bien le cas, Molly était déjà une "révolutionnaire" dans le genre.
On peut finalement voir un très bon parallèle avec Madeleine Astor qui, à 19 ans, était déjà mariée à un bon parti, enceinte (c'est ce qu'on attendait d'elle aussi) et donc dans l'inutilité finalement de faire des études.
A.T
Invité- Invité
Re: La bonne société et les langues étrangères
Andrews_Thomas a écrit:
Je ne sais pas si le film de Cameron est juste en faisant dire à Ruth DeWitt Bukater que le but de l'université est de chercher un bon mari (sous entendu: "vas à la fac, pour trouver ton mari et pas pour enrichir ton bagage culturel"). Si c'est bien le cas, Molly était déjà une "révolutionnaire" dans le genre
Je pense qu'il y a du vrai dans la phrase de Ruth, du moins pour les filles de la Haute Société.
Pour comparer avec la classe moyenne, les filles issues de ce milieu faisaient plutôt des études dans le but de faire un métier, je pense. C'est le cas d'une des soeurs de Murdoch, qui fut l'une des premières étudiantes acceptées à l'université d’Édimbourg. Ce qui était rare à l'époque. Elle devint ensuite professeur de Français ! Je me demande parfois si William connaissait donc des mots de Français, si oui ou non il avait appris notre langue dans son école (actuellement c'est au programme des élèves qui l'a fréquentent).
Dans le cas de Margaret c'est un peu différent. Elle a arrêté l'école à l'âge de 13 ans pour aller travailler dans une usine de tabac et ainsi aider à nourrir sa famille. Le quotidien des enfants de familles pauvres. Elle était déjà mariée depuis plusieurs années lorsqu'elle a commencé à étudier à l'université, et d'ailleurs si son mari n'avait pas trouvé de l'or, elle n'aurait jamais pu y avoir accès je pense.
Tiphaine-
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Localisation : Vallée de la Creuse
Re: La bonne société et les langues étrangères
Ce qui est tout à l'honneur de Molly.
Elle aurait très bien pu se contenter de son statut de "femme entretenue", grâce à l'argent de son mari et à leur nouveau train de vie, comme beaucoup. Avoir une vie faite de fêtes, de réceptions, de thés entre amies. A l'inverse, elle est totalement allée à contre courant de cette société, justement en étudiant.
Finalement elle a été très intelligente d'agir de la sorte.
Son fort caractère ne lui a-t-il pas fait anticiper l'avenir ?
Se pourrait-il qu'il lui soit passé dans l'esprit: "et si je me sépare de mon mari, ou que mon mari demande le divorce pour X raison, qu'adviendra-t-il de moi? De quoi vivre ?"
Quelqu'un va m'éclairer, mais je ne pense pas qu'il existait de "pension alimentaire" en cas de divorce en 1912. Si son mari décidait de divorcer, elle n'aurait peut-être pas eu d'indemnités, comme aujourd'hui.
Mr Brown a été très généreux en lui octroyant, malgré leur séparation, une rente tous les mois et ce, dès 1909. Mais cela, elle l'ignorait avant qu'elle ne se sépare de lui.
En étudiant, elle a en quelques sortes, assuré ses arrières, au cas où...
A.T
Elle aurait très bien pu se contenter de son statut de "femme entretenue", grâce à l'argent de son mari et à leur nouveau train de vie, comme beaucoup. Avoir une vie faite de fêtes, de réceptions, de thés entre amies. A l'inverse, elle est totalement allée à contre courant de cette société, justement en étudiant.
Finalement elle a été très intelligente d'agir de la sorte.
Son fort caractère ne lui a-t-il pas fait anticiper l'avenir ?
Se pourrait-il qu'il lui soit passé dans l'esprit: "et si je me sépare de mon mari, ou que mon mari demande le divorce pour X raison, qu'adviendra-t-il de moi? De quoi vivre ?"
Quelqu'un va m'éclairer, mais je ne pense pas qu'il existait de "pension alimentaire" en cas de divorce en 1912. Si son mari décidait de divorcer, elle n'aurait peut-être pas eu d'indemnités, comme aujourd'hui.
Mr Brown a été très généreux en lui octroyant, malgré leur séparation, une rente tous les mois et ce, dès 1909. Mais cela, elle l'ignorait avant qu'elle ne se sépare de lui.
En étudiant, elle a en quelques sortes, assuré ses arrières, au cas où...
A.T
Invité- Invité
Re: La bonne société et les langues étrangères
Andrews_Thomas a écrit:
Quelqu'un va m'éclairer, mais je ne pense pas qu'il existait de "pension alimentaire" en cas de divorce en 1912. Si son mari décidait de divorcer, elle n'aurait peut-être pas eu d'indemnités, comme aujourd'hui.
J'avoue ne pas savoir.
Dans les cas des Brown, comme ils n'ont jamais officiellement divorcés et qu'ils sont restés en bon termes, je pense qu'il y a eu arrangement à l'amiable.
Tiphaine-
Age : 35
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Re: La bonne société et les langues étrangères
Tiphaine a écrit:
Dans les cas des Brown, comme ils n'ont jamais officiellement divorcés et qu'ils sont restés en bon termes, je pense qu'il y a eu arrangement à l'amiable.
J'ai aussi pensé cela.
Et le fait qu'il lui allouait de l'argent chaque mois m'a aussi fait penser que, malgré son incartade, Mr Brown devait être encore amoureux de sa femme et donc continua à contribuer à faire son bonheur. Malheureusement Molly avait un caractère de feu et ne fit pas de concession.
A.T
Invité- Invité
Re: La bonne société et les langues étrangères
Je me suis toujours dit qu'il aurait été intéressant pour nous de remonter le temps pour aller sur notre paquebot favori... mais la barrière des langues aurait pu être compromettante!
Canard-jaune-
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Re: La bonne société et les langues étrangères
Canard-jaune a écrit:Je me suis toujours dit qu'il aurait été intéressant pour nous de remonter le temps pour aller sur notre paquebot favori... mais la barrière des langues aurait pu être compromettante!
Tu aurais discuté avec Molly Brown. Et je pense qu'à cette époque c'était super chic d'être français (comme aujourd'hui d'ailleurs). Ah la France et ses expositions universelles, son rayonnement culturel, la Tour Eiffel, Paris et le Moulin Rouge... On en aurait eu des choses intéressantes à leurs raconter aux nantis. On aurait été au centre de toutes les attentions.
Pour revenir aux langues, j'avais un à priori sur ces filles de bonne société qui se marient dès 19 ans (je cible Madeleine Astor). Je les voyais superficielles et pas futée, justes bonnes à être belles et se taire. Finalement non.
Prenons l'exemple de Madeleine: elle a étudié en Angleterre et aux Etats-Unis, à New-York.
D'abord à la Ely's School puis ensuite à la Spence's School qui existe encore et qui a compté parmi ses membres de grands noms: des actrices, des médecins et des journalistes (toutes femmes puisque c'est une école strictement féminine).
La fondatrice de cette école Clara Spence était une pionnière puisqu'elle fut la première à croire que l'enseignement supérieur avait une grande importance pour les jeunes filles. On leur enseignait les arts, les langues, et on leur apprenait ce qu'était la confiance en soi et pas... à se chercher un mari (comme l'a évoqué la mère de Rose dans le film de Cameron).
Madeleine Astor, bien que très jeune, n'était sans doute pas une belle plante niaise mais était sûrement très cultivée.
A.T
Invité- Invité
Re: La bonne société et les langues étrangères
Tout ceci me fait penser à la série Downton Abbey, tu connais ?
Elle est très utile pour se plonger dans le milieu de la haute société de l'époque et la famille compte d'ailleurs trois jeunes filles. On voit qu'elles sont effectivement très cultivées, mais que cela servait surtout à se "vendre"... Enfin, c'est comme ça que je l'ai ressentie. Je crois qu'il y a une scène dans un épisode où la mère vante les mérites de sa fille à un riche prétendant, "elle sait monter à cheval, danser...", ça veut tout dire. En fait même si elles faisaient des études, pour la majorité d'entres elles l'une des grandes questions de leur vie restait "avec qui je vais me marier ?".
Du moins jusqu'à ce que la 1ère guerre mondiale arrive et ne change tout. Après cette tragique période on voit dans la série que la mentalité semble un peu avoir évoluée et les jeunes filles se demandent maintenant "que vais-je pouvoir faire de ma vie", plutôt que de penser uniquement au futur mari.
Elle est très utile pour se plonger dans le milieu de la haute société de l'époque et la famille compte d'ailleurs trois jeunes filles. On voit qu'elles sont effectivement très cultivées, mais que cela servait surtout à se "vendre"... Enfin, c'est comme ça que je l'ai ressentie. Je crois qu'il y a une scène dans un épisode où la mère vante les mérites de sa fille à un riche prétendant, "elle sait monter à cheval, danser...", ça veut tout dire. En fait même si elles faisaient des études, pour la majorité d'entres elles l'une des grandes questions de leur vie restait "avec qui je vais me marier ?".
Du moins jusqu'à ce que la 1ère guerre mondiale arrive et ne change tout. Après cette tragique période on voit dans la série que la mentalité semble un peu avoir évoluée et les jeunes filles se demandent maintenant "que vais-je pouvoir faire de ma vie", plutôt que de penser uniquement au futur mari.
Tiphaine-
Age : 35
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Localisation : Vallée de la Creuse
Re: La bonne société et les langues étrangères
Tiphaine a écrit:Tout ceci me fait penser à la série Downton Abbey, tu connais ?
J'ai a-do-ré cette série, passée durant les fêtes de Noël, l'année passée. Il y avait trois épisodes l'un à la suite de l'autre durant deux week-end. Et elle commence justement avec le décès des héritiers du domaine dans le naufrage du Titanic.
Effectivement je me souviens de ces trois filles:
-il y avait l'aînée, celle promise au cousin héritier (pour que le domaine reste dans la famille) et dont la mère vante les mérites comme tu le dit si bien. En lisant tes phrases, la mettant en valeur, je visualise la scène et c'est tout à fait cela, cette mentalité de l'époque vis-à-vis des femmes: il faut qu'elles soient parfaites en tous points pour être bonnes épouses et facilement "vendables" (si je peux exprimer ce mot extrême mais si réel finalement).
-il y a celle qui ne trouve pas vraiment sa place: un peu gauche, celle dont on ne sait que faire et dont on s'inquiète: que va-t-on faire d'elle ? Et la grande angoise: trouvera-t-elle un mari ?
-et la plus jeune, la "rebelle, celle qui apportera le changement en militant et en osant porter une sorte de pantalon (ça m'a marqué).
J'ai hâte de voir la suite. J'ai remarqué que certains d'entre vous ont déjà vu la saison deux, c'est pour cela que j'évite de lire le sujet où vous en parlez pour éviter les spoilers.
A.T
Invité- Invité
Re: La bonne société et les langues étrangères
Andrews_Thomas a écrit:
J'ai hâte de voir la suite. J'ai remarqué que certains d'entre vous ont déjà vu la saison deux, c'est pour cela que j'évite de lire le sujet où vous en parlez pour éviter les spoilers.
Eh oui, c'était l'époque où Megaupload existait encore (et non je n'ai pas honte ). Tu as raison d'éviter le sujet dans ce cas, parce que j'y spoile pas mal je crois.
Tiphaine-
Age : 35
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Localisation : Vallée de la Creuse
Re: La bonne société et les langues étrangères
Tiphaine a écrit:
Eh oui, c'était l'époque où Megaupload existait encore (et non je n'ai pas honte ). Tu as raison d'éviter le sujet dans ce cas, parce que j'y spoile pas mal je crois.
je ne jette pas de pierre . Et pourtant j'ai envie de visiter le sujet mais... non, je résisterais, surtout si tu dis toi-même que tu spoiles à tout va . Et je sais maintenant que, quand tu écris sur un sujet, on ne t'arrêtes plus. . Et... j'adore ça.
A.T
Invité- Invité
Re: La bonne société et les langues étrangères
Oui mais c'est la faute à Miffy, elle voulait savoir ce que j'avais pensé de la deuxième saison... Alors évidement...j'ai écris pas mal. Quand est-ce qu'elle arrive en France ?
Pour en revenir aux langues étrangères, je pense poser la question sur le groupe Facebook dédié à la recherche sur les passagers et membres d'équipages, alors je vous tiens au courant si j'obtient des réponses intéressantes.
Pour en revenir aux langues étrangères, je pense poser la question sur le groupe Facebook dédié à la recherche sur les passagers et membres d'équipages, alors je vous tiens au courant si j'obtient des réponses intéressantes.
Tiphaine-
Age : 35
Messages : 4914
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Localisation : Vallée de la Creuse
Re: La bonne société et les langues étrangères
Tiphaine a écrit: Oui mais c'est la faute à Miffy, elle voulait savoir ce que j'avais pensé de la deuxième saison... Alors évidement...j'ai écris pas mal. Quand est-ce qu'elle arrive en France ?
Bon, on dira alors que c'est la faute à Miffy. J'imagine que la suite va arriver pour les fêtes de fin d'année (l'été n'étant pas très propice à ce genre de séries).
Tiphaine a écrit: Pour en revenir aux langues étrangères, je pense poser la question sur le groupe Facebook dédié à la recherche sur les passagers et membres d'équipages, alors je vous tiens au courant si j'obtient des réponses intéressantes.
Oui, merci.
On sait que Molly Brown était polyglotte et francophile et ce serait intéressant de savoir s'il y en avait d'autres: J.J Astor, Benjamin Guggenheim... histoire de voir si en 1912, la France avait cette aura internationale qu'on lui attribut souvent.
Si tant d'aristocrates aimaient y passer leurs vacances, on pourrait logiquement supposer qu'ils en pratiquaient un peu la langue. Il ne reste qu'aux experts et connaisseurs de pouvoir confirmer.
A.T
Invité- Invité
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