Raspoutine et les Romanov
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Re: Raspoutine et les Romanov
L'histoire d'"Anna Anderson" (Franziska Schanzkowska) est très connue car pour beaucoup de personne, elle était la vraie Anastasia. Son histoire avait permis d’alimenter le mythe que la duchesse avait survécu à la tuerie.
J'ai découvert l'histoire des Roumaov quand j'étais ado lorsque que le dessin animé "Anastasia" de la 20th Century Fox était sorti. Et je me suis prise d'amour pour cette histoire - j'aimais imaginer qu'elle avait survécu et vivait cachée. Mais la fin du mystère prendra 2008 (comme l'a dit Fini)
- En 1990 les corps de la famille impériale sont retrouvés et identifiés par un test ADN (soit 5 corps sur 7). Deux corps manquent, celui du tsarévitch Alexis, 13 ans, et celui de l'une des filles, Marie .Les restes présumés d' Alexeï et de sa soeur Maria avaient été découverts en 2007.
J'ai découvert l'histoire des Roumaov quand j'étais ado lorsque que le dessin animé "Anastasia" de la 20th Century Fox était sorti. Et je me suis prise d'amour pour cette histoire - j'aimais imaginer qu'elle avait survécu et vivait cachée. Mais la fin du mystère prendra 2008 (comme l'a dit Fini)
- En 1990 les corps de la famille impériale sont retrouvés et identifiés par un test ADN (soit 5 corps sur 7). Deux corps manquent, celui du tsarévitch Alexis, 13 ans, et celui de l'une des filles, Marie .Les restes présumés d' Alexeï et de sa soeur Maria avaient été découverts en 2007.
keksie1883-
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Re: Raspoutine et les Romanov
Merci Keksie pour l’info. C’est vrai que l’histoire avec Anderson est fini quand membres féminins des familles royales européennes connectées à la famille impériale de la Russie ont donné ADN mitochondrial. Bien sûr l’ADN mitochondrial d’ Anna n’était pas le même que l’ADN des les membres royaux.
Oui le corps du Tsarevich Alexeï avait une grande « aventure » avant sa découverte.
Par ailleurs l’histoire d’Alexeï est tragique. Il était le seul fils du Nicolas II et son épouse Alix d’Hesse et by-Rhin , donc il était l’ héritier du trône russe. Mais sa santé était très fragile. Il était malade à cause de l’ hémophilie. Sa biographie est très intéressante et triste:. Voilà l’extrait par Wikipedia :
Son Altesse Impériale le tsarévitch Alexis Nicolaïevitch naît dix ans après le mariage de ses parents. Les naissances de ses quatre grandes sœurs, les grandes-duchesses Olga née en 1895, Tatiana née en 1897, Maria née en 1899 et Anastasia née en 1901 avaient compromis la popularité de la tsarine, qui semblait incapable de donner un héritier au trône.
Alexis Nikolaïevitch de Russie est baptisé le 3 septembre 1904 en la chapelle du palais de Peterhof. Pierre Gilliard, le précepteur du tsarévitch, décrit Alexis comme :
« Un des plus beaux enfants qu'on puisse rêver, avec ses boucles blondes, ses grands yeux gris-bleu qu'ombrageaient de longs cils recourbés »
Ce bonheur est éphémère ; bien vite on s'aperçoit que l'héritier des tsars est atteint du gène fatal transmis par sa mère que la médecine de l'époque ne sait pas traiter.
La maladie
Dès sa naissance, le tsarévitch montre les signes pathologiques de l'hémophilie. Cette maladie génétique incurable, qui n'atteint quasiment que les hommes, lui avait été transmise par son arrière-grand-mère, la reine Victoria du Royaume-Uni. Transmissible uniquement par les femmes, la maladie provoque la culpabilité de sa mère, l'impératrice Alexandra née Alix de Hesse-Darmstadt. Celle-ci veille avec angoisse sur les activités du tsarévitch afin d'éviter les hématomes, les égratignures, les chutes, qui provoquaient chez le jeune prince des douleurs intenses, des maux de têtes et des accès de fièvre. Quelquefois, le tsarévitch s'évanouit de douleur. Conscient de sa faiblesse, le tsarévitch est un enfant difficile, coléreux et autoritaire. À d'autres moments, il se révèle aimable et sincère. Malgré les soins apportés par les médecins de la Cour impériale et ceux de son entourage familial (qui par ignorance le soignent avec de l'aspirine dont ils ne connaissent pas le pouvoir antiagrégant plaquettaire ), le tsarévitch est condamné à brève échéance et n'aurait pu régner sur la Russie impériale. À cette époque, un enfant atteint d'hémophilie a une espérance de vie de vingt ans. Dans le passé, la famille de l'impératrice n'a pas été épargnée par cette redoutable maladie, son jeune frère Frédéric-Guillaume de Hesse-Darmstadt et deux jeunes enfants de sa sœur, la princesse Irène de Prusse en sont morts. La maladie du tsarévitch augmente encore davantage le mysticisme de sa mère dont a su profiter Raspoutine qui est introduit auprès du couple impérial en 1905.
Raspoutine est le seul à pouvoir arrêter les hémorragies de l'enfant. En 1912, lors du séjour de chasse de ses parents à Spala, Alexis, victime d'une secousse lors d'une promenade en calèche est pris de violentes douleurs. Une grosseur déjà existante prend de l'ampleur. En proie à de terribles souffrances, les cris du tsarévitch retentissent dans tout le palais. Les médecins impuissants, les derniers sacrements sont administrés au jeune tsarévitch. Pendant l'agonie d'Alexis, sa mère, l'impératrice Alexandra, reçoit un télégramme de Raspoutine l'assurant de la guérison prochaine du tsarévitch. Quelques heures plus tard, l'hémorragie s'arrête d'elle-même.
De 1907 à 1917, le matelot Andrei Derevenko est chargé de la garde d'Alexis. Après l'abdication de Nicolas II, Derevenko montre de la rancune envers le tsarévitch et quitte Tsarskoïe-Selo.
Le matelot Nagorny remplace Derevenko et sera très dévoué au petit tsarévitch. En mai 1918, lors du voyage des jeunes grandes-duchesses et du petit Alyocha, sur le bateau qui les emmène de Tobolsk à Ekaterinbourg, les jeunes filles et leur frère sont enfermés dans leur cabine. Le matelot se révolta contre ce procédé : il fait remarquer au révolutionnaire Ivan Svikke, dit Rodianov, le mauvais état de santé du tsarévitch en ces termes : « Quel culot ! Un enfant malade ! On ne pourra même pas aller aux cabinets. » Prenant courageusement la défense du jeune Alexis, le matelot Nagorny signe son arrêt de mort. Quelques jours plus tard, la Tchéka vient l'arrêter. Un certain Ermakov, vingt ans plus tard, racontera comment il a tué le matelot dévoué corps et âme au tsarévitch. Il le fusille comme un « larbin du tsar, un matelot chargé de s'occuper de l'héritier »
En avril 1918, lors du transfert de la famille impériale de Tobolsk à Ekaterinbourg, Alexis, trop faible, ne peut voyager avec sa sœur, la grande-duchesse Maria, et ses parents. Ce ne fut qu'en mai 1918 que le jeune tsarévitch et ses sœurs rejoignent le reste de la famille impériale à Ekaterinbourg.
Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918, Yakov Yourovski, accompagné de onze hommes, fait descendre le tsar et sa famille au sous-sol de la maison Ipatiev. Le tsarévitch avait, pour se distraire, fait du toboggan sur une rampe d'escalier quelques jours auparavant et était tombé : il en garde une jambe bandée et, incapable de marcher, son père doit le porter.
À 3 heures 15 du matin, le commissaire spécial tire à bout portant sur le tsar, déclenchant le massacre. Assis sur sa chaise, Alexis ferme les yeux. Touché il tomba sur le sol. À terre, il agrippe la chemise de Nicolas et ne bouge plus. Quand Yourovski s'aperçoit qu'il respire encore, il le signale à Ermakov qui lui plante à plusieurs reprises sa baïonnette dans le corps. Alexis est encore en vie, Yourovski l'achève de deux balles dans la tempe droite.
La dépouille du jeune Alexis Nikolaïevitch de Russie sera, comme celles de sa famille, déshabillée, arrosée d'essence, brûlée puis défigurée à l'aide d'acide sulfurique avant d'être jetée dans un puits de mine situé dans la forêt de Koptiaki. Les corps furent retirés quelques jours plus tard pour être ensevelis sous un chemin forestier. D'après le rapport de Iakov Iourovski, les corps du tsarévitch Alexis et d'une de ses sœurs, Maria ou Anastasia, sont brûlés dans les bois voisins.
L'exécution de la famille Romanov a des parts d'ombres qui ont donné naissance aux mythes de la survie de plusieurs des membres de la famille Romanov : selon une légende, il aurait survécu en URSS même et – comme Maria Nikolaïevna de Russie en Europe occidentale – y aurait eu une descendance. Un collectif paru en 1998 également – mais projeté vers 1994, donc sans relation avec les commémorations des quatre-vingts ans du « crime » – est pris en considération par Marc Ferro en 2002, et Jacqueline Monsigny en 2003. Il jette le doute sur l'idée admise avec prudence par Marc Ferro lui-même en 1990, et affirmée par Marina Grey, d'une double exécution de Nicolas II et de son fils. Des photographies d'un brillant professeur de géographie soviétique, Alexandre Filatov, décédé en 1988, également hémophile, frappent par leur ressemblance avec l'ancien tsar Des procédures juridiques sont en cours en Russie pour faire admettre de la part du fils d'Alexandre Filatov sa paternité avec son grand-père impérial présumé
Oui le corps du Tsarevich Alexeï avait une grande « aventure » avant sa découverte.
Par ailleurs l’histoire d’Alexeï est tragique. Il était le seul fils du Nicolas II et son épouse Alix d’Hesse et by-Rhin , donc il était l’ héritier du trône russe. Mais sa santé était très fragile. Il était malade à cause de l’ hémophilie. Sa biographie est très intéressante et triste:. Voilà l’extrait par Wikipedia :
Son Altesse Impériale le tsarévitch Alexis Nicolaïevitch naît dix ans après le mariage de ses parents. Les naissances de ses quatre grandes sœurs, les grandes-duchesses Olga née en 1895, Tatiana née en 1897, Maria née en 1899 et Anastasia née en 1901 avaient compromis la popularité de la tsarine, qui semblait incapable de donner un héritier au trône.
Alexis Nikolaïevitch de Russie est baptisé le 3 septembre 1904 en la chapelle du palais de Peterhof. Pierre Gilliard, le précepteur du tsarévitch, décrit Alexis comme :
« Un des plus beaux enfants qu'on puisse rêver, avec ses boucles blondes, ses grands yeux gris-bleu qu'ombrageaient de longs cils recourbés »
Ce bonheur est éphémère ; bien vite on s'aperçoit que l'héritier des tsars est atteint du gène fatal transmis par sa mère que la médecine de l'époque ne sait pas traiter.
La maladie
Dès sa naissance, le tsarévitch montre les signes pathologiques de l'hémophilie. Cette maladie génétique incurable, qui n'atteint quasiment que les hommes, lui avait été transmise par son arrière-grand-mère, la reine Victoria du Royaume-Uni. Transmissible uniquement par les femmes, la maladie provoque la culpabilité de sa mère, l'impératrice Alexandra née Alix de Hesse-Darmstadt. Celle-ci veille avec angoisse sur les activités du tsarévitch afin d'éviter les hématomes, les égratignures, les chutes, qui provoquaient chez le jeune prince des douleurs intenses, des maux de têtes et des accès de fièvre. Quelquefois, le tsarévitch s'évanouit de douleur. Conscient de sa faiblesse, le tsarévitch est un enfant difficile, coléreux et autoritaire. À d'autres moments, il se révèle aimable et sincère. Malgré les soins apportés par les médecins de la Cour impériale et ceux de son entourage familial (qui par ignorance le soignent avec de l'aspirine dont ils ne connaissent pas le pouvoir antiagrégant plaquettaire ), le tsarévitch est condamné à brève échéance et n'aurait pu régner sur la Russie impériale. À cette époque, un enfant atteint d'hémophilie a une espérance de vie de vingt ans. Dans le passé, la famille de l'impératrice n'a pas été épargnée par cette redoutable maladie, son jeune frère Frédéric-Guillaume de Hesse-Darmstadt et deux jeunes enfants de sa sœur, la princesse Irène de Prusse en sont morts. La maladie du tsarévitch augmente encore davantage le mysticisme de sa mère dont a su profiter Raspoutine qui est introduit auprès du couple impérial en 1905.
Raspoutine est le seul à pouvoir arrêter les hémorragies de l'enfant. En 1912, lors du séjour de chasse de ses parents à Spala, Alexis, victime d'une secousse lors d'une promenade en calèche est pris de violentes douleurs. Une grosseur déjà existante prend de l'ampleur. En proie à de terribles souffrances, les cris du tsarévitch retentissent dans tout le palais. Les médecins impuissants, les derniers sacrements sont administrés au jeune tsarévitch. Pendant l'agonie d'Alexis, sa mère, l'impératrice Alexandra, reçoit un télégramme de Raspoutine l'assurant de la guérison prochaine du tsarévitch. Quelques heures plus tard, l'hémorragie s'arrête d'elle-même.
De 1907 à 1917, le matelot Andrei Derevenko est chargé de la garde d'Alexis. Après l'abdication de Nicolas II, Derevenko montre de la rancune envers le tsarévitch et quitte Tsarskoïe-Selo.
Le matelot Nagorny remplace Derevenko et sera très dévoué au petit tsarévitch. En mai 1918, lors du voyage des jeunes grandes-duchesses et du petit Alyocha, sur le bateau qui les emmène de Tobolsk à Ekaterinbourg, les jeunes filles et leur frère sont enfermés dans leur cabine. Le matelot se révolta contre ce procédé : il fait remarquer au révolutionnaire Ivan Svikke, dit Rodianov, le mauvais état de santé du tsarévitch en ces termes : « Quel culot ! Un enfant malade ! On ne pourra même pas aller aux cabinets. » Prenant courageusement la défense du jeune Alexis, le matelot Nagorny signe son arrêt de mort. Quelques jours plus tard, la Tchéka vient l'arrêter. Un certain Ermakov, vingt ans plus tard, racontera comment il a tué le matelot dévoué corps et âme au tsarévitch. Il le fusille comme un « larbin du tsar, un matelot chargé de s'occuper de l'héritier »
En avril 1918, lors du transfert de la famille impériale de Tobolsk à Ekaterinbourg, Alexis, trop faible, ne peut voyager avec sa sœur, la grande-duchesse Maria, et ses parents. Ce ne fut qu'en mai 1918 que le jeune tsarévitch et ses sœurs rejoignent le reste de la famille impériale à Ekaterinbourg.
Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918, Yakov Yourovski, accompagné de onze hommes, fait descendre le tsar et sa famille au sous-sol de la maison Ipatiev. Le tsarévitch avait, pour se distraire, fait du toboggan sur une rampe d'escalier quelques jours auparavant et était tombé : il en garde une jambe bandée et, incapable de marcher, son père doit le porter.
À 3 heures 15 du matin, le commissaire spécial tire à bout portant sur le tsar, déclenchant le massacre. Assis sur sa chaise, Alexis ferme les yeux. Touché il tomba sur le sol. À terre, il agrippe la chemise de Nicolas et ne bouge plus. Quand Yourovski s'aperçoit qu'il respire encore, il le signale à Ermakov qui lui plante à plusieurs reprises sa baïonnette dans le corps. Alexis est encore en vie, Yourovski l'achève de deux balles dans la tempe droite.
La dépouille du jeune Alexis Nikolaïevitch de Russie sera, comme celles de sa famille, déshabillée, arrosée d'essence, brûlée puis défigurée à l'aide d'acide sulfurique avant d'être jetée dans un puits de mine situé dans la forêt de Koptiaki. Les corps furent retirés quelques jours plus tard pour être ensevelis sous un chemin forestier. D'après le rapport de Iakov Iourovski, les corps du tsarévitch Alexis et d'une de ses sœurs, Maria ou Anastasia, sont brûlés dans les bois voisins.
L'exécution de la famille Romanov a des parts d'ombres qui ont donné naissance aux mythes de la survie de plusieurs des membres de la famille Romanov : selon une légende, il aurait survécu en URSS même et – comme Maria Nikolaïevna de Russie en Europe occidentale – y aurait eu une descendance. Un collectif paru en 1998 également – mais projeté vers 1994, donc sans relation avec les commémorations des quatre-vingts ans du « crime » – est pris en considération par Marc Ferro en 2002, et Jacqueline Monsigny en 2003. Il jette le doute sur l'idée admise avec prudence par Marc Ferro lui-même en 1990, et affirmée par Marina Grey, d'une double exécution de Nicolas II et de son fils. Des photographies d'un brillant professeur de géographie soviétique, Alexandre Filatov, décédé en 1988, également hémophile, frappent par leur ressemblance avec l'ancien tsar Des procédures juridiques sont en cours en Russie pour faire admettre de la part du fils d'Alexandre Filatov sa paternité avec son grand-père impérial présumé
Fini-
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Re: Raspoutine et les Romanov
La maladie du tsarévitch Alexis a été très traumatisant pour sa mère Alexandra. Car l'hémophilie se transmets par la mère (très très rare chez les femmes). Alexandra avait le gène de sa grand-mère, la Reine Victoria.
Alexandra de Russie, qui avait mis au monde que des filles, fut soulagé lorsque le petit Alexis, vit le jour. Cependant, l'annonce de sa maladie, fit que l'impératrice se renferma sur elle-même et la famille fut un peu couper du monde. En effet, l’espérance de vie n'était pas très haute à l'époque et cela voulait dire qu'il n'y aurait pas d'héritier pour les Romanov. C'est pourquoi, trouver un moyen de le guérir était le seul but d'Alexandra, quitte à confiance à un homme tel que Raspoutine.
Il est dit que la principale raison de la révolution de 1905 était principalement dû au fait que l'héritier était malade et accaparait toute l'intention de la famille qui ne réalisait pas ce qui se passait à l'extérieur des portes du palais.
Alexandra de Russie, qui avait mis au monde que des filles, fut soulagé lorsque le petit Alexis, vit le jour. Cependant, l'annonce de sa maladie, fit que l'impératrice se renferma sur elle-même et la famille fut un peu couper du monde. En effet, l’espérance de vie n'était pas très haute à l'époque et cela voulait dire qu'il n'y aurait pas d'héritier pour les Romanov. C'est pourquoi, trouver un moyen de le guérir était le seul but d'Alexandra, quitte à confiance à un homme tel que Raspoutine.
Il est dit que la principale raison de la révolution de 1905 était principalement dû au fait que l'héritier était malade et accaparait toute l'intention de la famille qui ne réalisait pas ce qui se passait à l'extérieur des portes du palais.
keksie1883-
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Re: Raspoutine et les Romanov
Oui c’est vrai. En tout cas c’est dommage que la ligne de la succession au trône russe n’a permis pas à les membres féminins de la famille impériale de devenir - à l’absence d’héritier masculin - des reines. Si ça était une réalité je pense que la monarchie à la Russie serait plus stable , sur la condition que ses membres étaient plus proches au peuple russe et plus modestes bien sûr. J’ai lu que l’ héritier de l’ Impératrice Catherine a banni les femmes de rester à la ligne de succession, car il pensait que Catherine a abusé de son pouvoir.
Fini-
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Re: Raspoutine et les Romanov
Oui en effet, je pense que la pression sur la famille impériale aurait été différente. Pour garder son trône l'Angleterre avait mis en place une monarchie démocratique - ce que Nicolas II n'a pas voulu faire. Je pense que la situation aurait très différente - peut-être même qu'il y aurait toujours un empereur ou un roi de Russie aujourd'hui, s'il avait accepter une démocratie.
keksie1883-
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Re: Raspoutine et les Romanov
Oui c’est possible. En tout cas la vie des Romanovs était très provocante . Donc la révolution et l’abolition de la monarchie russe étaient très justifiées par ce comportement des Tsars.
Fini-
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