Les poèmes
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Mes poemes
Oh que j'y prend du plaisir
lorsque seul dans la froide cour de ce lycée
Avec un crayon et un bout de papier
J'écrit des petit mots , des petites phrases
Formant un poeme, formant un beau poeme
En voila un que je vien d'inventer en ecrivant le messages vous pouvez retrouvez mes poempes et mes textes sur le Titanic en vous rendant sur mon blog
http://gui-gui795.skyrock.com
lorsque seul dans la froide cour de ce lycée
Avec un crayon et un bout de papier
J'écrit des petit mots , des petites phrases
Formant un poeme, formant un beau poeme
En voila un que je vien d'inventer en ecrivant le messages vous pouvez retrouvez mes poempes et mes textes sur le Titanic en vous rendant sur mon blog
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Re: Les poèmes
C'est très joli toutes vos oeuvres ^^
J'aime bien écrire des poèmes sous forme d'histoire, le dernier que j'ai écrit, je l'ai fait en Option littérature de Jeunesse à l'IUFM. Il devait avoir pour thème la grenouille, et je me suis amusée: (bon après c'est pas de l'art ), j'aime bien écrire pour des enfants:
Ma petite grenouille est une vraie fripouille
Je l'ai trouvée non loin dans un petit étang
Attendant tranquillement le prince charmant
Une fois l'homme arrivé sur son beau cheval blanc
Elle ne l'embrasse point mais le dépouille
Je l'ai regardé faire non sans rire
Et l'adoptai pour m'enrichir
Voila
Autrement, je suis toujours touchée par les textes de Victor Hugo, notemment celui ci, assez connu:
Demain Dès L'Aube
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai - Vois-tu, je sais que tu m'attends -
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne -
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Honfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Encore, j'ai un côté sombre en moi je pense, parce que j'adore "les fleurs du mal" de Charles Baudelaire
Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;
Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;
Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,
Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.
- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir
Et enfin, un poème court de Joël Sadeler, tiré du receuil "trente six chants d'arbres"
Hêtre
Hêtre ou ne pas être
La question ne se pose pas
Pour le meunuiser qui en fera son bois
Jusqu'au cercueil
Hêtre ou ne pas être
J'aime bien écrire des poèmes sous forme d'histoire, le dernier que j'ai écrit, je l'ai fait en Option littérature de Jeunesse à l'IUFM. Il devait avoir pour thème la grenouille, et je me suis amusée: (bon après c'est pas de l'art ), j'aime bien écrire pour des enfants:
Ma petite grenouille est une vraie fripouille
Je l'ai trouvée non loin dans un petit étang
Attendant tranquillement le prince charmant
Une fois l'homme arrivé sur son beau cheval blanc
Elle ne l'embrasse point mais le dépouille
Je l'ai regardé faire non sans rire
Et l'adoptai pour m'enrichir
Voila
Autrement, je suis toujours touchée par les textes de Victor Hugo, notemment celui ci, assez connu:
Demain Dès L'Aube
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai - Vois-tu, je sais que tu m'attends -
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne -
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Honfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Encore, j'ai un côté sombre en moi je pense, parce que j'adore "les fleurs du mal" de Charles Baudelaire
Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;
Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;
Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,
Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.
- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir
Et enfin, un poème court de Joël Sadeler, tiré du receuil "trente six chants d'arbres"
Hêtre
Hêtre ou ne pas être
La question ne se pose pas
Pour le meunuiser qui en fera son bois
Jusqu'au cercueil
Hêtre ou ne pas être
Re: Les poèmes
Voici un poème que j'ai écrit sur l'hiver :
L'hiver est une saison magnifique,
Mais dangereuse à la fois.
Cette somptueuse neige blanche,
Tel des nuages,
Vous attire comme un aimant.
Mais un fois dans ce tapis blanc,
Il vous semble impossible qu'une telle splendeur
Puisse être aussi redoutable.
Ce froid mordant,
Qui vous brûle le visage et les mains,
Et qui vous engourdis les membres un par un,
Vous tue a petit feu.
Voilà
L'hiver est une saison magnifique,
Mais dangereuse à la fois.
Cette somptueuse neige blanche,
Tel des nuages,
Vous attire comme un aimant.
Mais un fois dans ce tapis blanc,
Il vous semble impossible qu'une telle splendeur
Puisse être aussi redoutable.
Ce froid mordant,
Qui vous brûle le visage et les mains,
Et qui vous engourdis les membres un par un,
Vous tue a petit feu.
Voilà
Laura.S-
Messages : 21
Inscrit le : 28/02/2012
Re: Les poèmes
C'est un très beau poème
sam-
Age : 35
Messages : 1404
Inscrit le : 21/03/2010
Localisation : Dans le fumoir avec un bon brandy
Re: Les poèmes
... j'ai mal et … je pleure …
Oui … il est parti avec mon bonheur …
Là dans ma poitrine s'est formé un gouffre et à chaque inspiration je souffre
La blessure saigne … cela pique, m'arrache une douleur insupportable ...
Il me rend fou et malade de lui ... je l'Aime !
Quand je repense à lui, la blessure s'ouvre
Elle s'agrandit et se déchire jusqu'à en crier pour que ça s'arrête
Quand je ferme les yeux pour m'endormir, je peux à peine m'assoupir
La douleur infernale revient sans cesse et quand j'arrive à dormir,
je me réveille de mon cauchemar, en sueur
La blessure, il faut me croire, ne se refermera jamais
Mes yeux seront morts, tant que je ne le verrai pas
Ses yeux de couleur Or me hanteront et la blessure,
je le sais, me fera plus mal que jamais
Oui … il est parti avec mon bonheur …
Là dans ma poitrine s'est formé un gouffre et à chaque inspiration je souffre
La blessure saigne … cela pique, m'arrache une douleur insupportable ...
Il me rend fou et malade de lui ... je l'Aime !
Quand je repense à lui, la blessure s'ouvre
Elle s'agrandit et se déchire jusqu'à en crier pour que ça s'arrête
Quand je ferme les yeux pour m'endormir, je peux à peine m'assoupir
La douleur infernale revient sans cesse et quand j'arrive à dormir,
je me réveille de mon cauchemar, en sueur
La blessure, il faut me croire, ne se refermera jamais
Mes yeux seront morts, tant que je ne le verrai pas
Ses yeux de couleur Or me hanteront et la blessure,
je le sais, me fera plus mal que jamais
(non mon copain ne m'a pas quitté, c'est un poème fait pour un scénario ^^)
Mystere-
Messages : 136
Inscrit le : 22/11/2011
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