Ecrivons une histoire... le Titanic

Emilie, c'est encore un peu trop long hjklpo  Pourrais-tu modifier s'il te plait afin que ton texte ne fasse entre dix et vingt mots environ ?  

Joris

Je m'incruste dans cette histoire parce qu'il y a quelque chose que je ne comprends pas.

La petite héroïne voyage avec son père en seconde classe. Lorsqu'elle lui demande si leur mère allait bientôt les rejoindre, il élude la question, embarrassé.
Mais juste après, devant les canots de sauvetage, la petite fille pose la question : "maman, à quoi servent ces bateaux en bois ?".
C'est là que je ne comprends pas.   La mère est-elle à bord et elle vient d'apparaître sur le pont ou c'est juste un erreur dans l'histoire ?

Denis.

Je crois qu'on s'est mal compris. Au départ, je croyais que c'était la mère puis le père lol, on s'est un peu mélangé les pinceaux.

Oui  Pareil, j'ai confondu entre le père et la mère. Je savais que le passager était masculin mais ensuite je n'y ai plus pensé, et j'ai cru que c'était la mère qui voyageait avec sa fille.

Joris

10 avril 1912, je m'apprête à embarquer à bord du Titanic. Ce paquebot est si grand, si beau, si luxueux, je n'en ai jamais vu de tel auparavant. Je suis un passager de deuxième classe, comme le prouve le billet que je tiens serré dans ma main depuis plus d'une heure déjà. Toutes mes économies y sont passées mais je ne regrette rien. Une nouvelle vie s'offre à moi ainsi qu'à ma fille, qui semble émerveillée. C'est incroyable comme elle a grandi depuis la dernière fois où je suis venu en Angleterre. Il était grand temps que je revienne la chercher après tout ce temps où on a été séparés. Nous allons pouvoir nous retrouver sur ce paquebot et profiter du temps que nous avons perdu. D'après la publicité, nous n'allons pas nous ennuyer une seconde, et je suis pressé de découvrir la piscine dont on m'a tant parlé. Un homme me salue, il s'agit de mon voisin de cabine que j'ai croisé tout à l'heure. Nous n'avons échangé que quelques mots courtois, mais il me semble être un homme bien. Le temps que nous discutions, ma fille s'est envolée! Je dois vite la retrouver, il est l'heure d'embarquer. Heureusement, elle n'est pas bien loin. Elle est en admiration devant un homme notant quelque chose dans un petit carnet. Il nous aperçoit et nous dit "Monsieur, ne perdez pas une seconde, embarquez immédiatement avec votre ravissante fille. Je vous souhaite une excellente traversée".

Nous pénétrons ainsi à l'intérieur du Titanic, et je n'en crois pas mes yeux, la publicité n'était pas mensongère, tout ce luxe qui nous illumine! Et comble du bonheur, on nous invite à visiter les installations de Première Classe au pas de course! C'est une chance inouïe pour les modestes passagers que nous sommes, ma princesse est aux anges à l'idée d'admirer le fameux Grand Escalier et la Salle à Manger, où une charmante dame, nommée, comme je l'apprends presque aussitot du steward serviable qui nous permet cette visite rapide, Madeleine Astor, épouse du milliardaire new-yorkais John Jacob Astor IV, issu d'une richissime famille. C'est alors que ma petite s'exclame: "Maman va venir nous rejoindre ?" Embarassé, j'élude la question et l'emmène sur le pont voir les canots de sauvetage qui l'impressionnent. Papa, à quoi servent ces bateaux en bois ? Eh bien ma fille, ils servent à évacuer les passagers et membre d'équipage si d'aventure il arrivait malheur à ce navire! Seulement, il n'y a presque aucun risque que cela n'arrive, ce paquebot ne peut pas couler" Ma petite fille me regarde alors d'un air dubitatif,puis, l'air sérieux, rétorque "Je ne me sens pas bien... s'il vous plait pouvons-nous rentrer à l'intérieur ? J'aimerais jouer avec les autres enfants"...

Merci Nadine  

10 avril 1912, je m'apprête à embarquer à bord du Titanic. Ce paquebot est si grand, si beau, si luxueux, je n'en ai jamais vu de tel auparavant. Je suis un passager de deuxième classe, comme le prouve le billet que je tiens serré dans ma main depuis plus d'une heure déjà. Toutes mes économies y sont passées mais je ne regrette rien. Une nouvelle vie s'offre à moi ainsi qu'à ma fille, qui semble émerveillée. C'est incroyable comme elle a grandi depuis la dernière fois où je suis venu en Angleterre. Il était grand temps que je revienne la chercher après tout ce temps où on a été séparés. Nous allons pouvoir nous retrouver sur ce paquebot et profiter du temps que nous avons perdu. D'après la publicité, nous n'allons pas nous ennuyer une seconde, et je suis pressé de découvrir la piscine dont on m'a tant parlé. Un homme me salue, il s'agit de mon voisin de cabine que j'ai croisé tout à l'heure. Nous n'avons échangé que quelques mots courtois, mais il me semble être un homme bien. Le temps que nous discutions, ma fille s'est envolée! Je dois vite la retrouver, il est l'heure d'embarquer. Heureusement, elle n'est pas bien loin. Elle est en admiration devant un homme notant quelque chose dans un petit carnet. Il nous aperçoit et nous dit "Monsieur, ne perdez pas une seconde, embarquez immédiatement avec votre ravissante fille. Je vous souhaite une excellente traversée".

Nous pénétrons ainsi à l'intérieur du Titanic, et je n'en crois pas mes yeux, la publicité n'était pas mensongère, tout ce luxe qui nous illumine! Et comble du bonheur, on nous invite à visiter les installations de Première Classe au pas de course! C'est une chance inouïe pour les modestes passagers que nous sommes, ma princesse est aux anges à l'idée d'admirer le fameux Grand Escalier et la Salle à Manger, où une charmante dame, nommée, comme je l'apprends presque aussitot du steward serviable qui nous permet cette visite rapide, Madeleine Astor, épouse du milliardaire new-yorkais John Jacob Astor IV, issu d'une richissime famille. C'est alors que ma petite s'exclame: "Maman va venir nous rejoindre ?" Embarassé, j'élude la question et l'emmène sur le pont voir les canots de sauvetage qui l'impressionnent. Papa, à quoi servent ces bateaux en bois ? Eh bien ma fille, ils servent à évacuer les passagers et membre d'équipage si d'aventure il arrivait malheur à ce navire! Seulement, il n'y a presque aucun risque que cela n'arrive, ce paquebot ne peut pas couler" Ma petite fille me regarde alors d'un air dubitatif,puis, l'air sérieux, rétorque "Je ne me sens pas bien... s'il vous plait pouvons-nous rentrer à l'intérieur ? J'aimerais jouer avec les autres enfants"... "Oui, ma chérie nous y allons." Je me déplace vers la porte quand tout à coup nous apercevons au loin...

Joris

10 avril 1912, je m'apprête à embarquer à bord du Titanic. Ce paquebot est si grand, si beau, si luxueux, je n'en ai jamais vu de tel auparavant. Je suis un passager de deuxième classe, comme le prouve le billet que je tiens serré dans ma main depuis plus d'une heure déjà. Toutes mes économies y sont passées mais je ne regrette rien. Une nouvelle vie s'offre à moi ainsi qu'à ma fille, qui semble émerveillée. C'est incroyable comme elle a grandi depuis la dernière fois où je suis venu en Angleterre. Il était grand temps que je revienne la chercher après tout ce temps où on a été séparés. Nous allons pouvoir nous retrouver sur ce paquebot et profiter du temps que nous avons perdu. D'après la publicité, nous n'allons pas nous ennuyer une seconde, et je suis pressé de découvrir la piscine dont on m'a tant parlé. Un homme me salue, il s'agit de mon voisin de cabine que j'ai croisé tout à l'heure. Nous n'avons échangé que quelques mots courtois, mais il me semble être un homme bien. Le temps que nous discutions, ma fille s'est envolée! Je dois vite la retrouver, il est l'heure d'embarquer. Heureusement, elle n'est pas bien loin. Elle est en admiration devant un homme notant quelque chose dans un petit carnet. Il nous aperçoit et nous dit "Monsieur, ne perdez pas une seconde, embarquez immédiatement avec votre ravissante fille. Je vous souhaite une excellente traversée".

Nous pénétrons ainsi à l'intérieur du Titanic, et je n'en crois pas mes yeux, la publicité n'était pas mensongère, tout ce luxe qui nous illumine! Et comble du bonheur, on nous invite à visiter les installations de Première Classe au pas de course! C'est une chance inouïe pour les modestes passagers que nous sommes, ma princesse est aux anges à l'idée d'admirer le fameux Grand Escalier et la Salle à Manger, où une charmante dame, nommée, comme je l'apprends presque aussitot du steward serviable qui nous permet cette visite rapide, Madeleine Astor, épouse du milliardaire new-yorkais John Jacob Astor IV, issu d'une richissime famille. C'est alors que ma petite s'exclame: "Maman va venir nous rejoindre ?" Embarassé, j'élude la question et l'emmène sur le pont voir les canots de sauvetage qui l'impressionnent. Papa, à quoi servent ces bateaux en bois ? Eh bien ma fille, ils servent à évacuer les passagers et membre d'équipage si d'aventure il arrivait malheur à ce navire! Seulement, il n'y a presque aucun risque que cela n'arrive, ce paquebot ne peut pas couler" Ma petite fille me regarde alors d'un air dubitatif,puis, l'air sérieux, rétorque "Je ne me sens pas bien... s'il vous plait pouvons-nous rentrer à l'intérieur ? J'aimerais jouer avec les autres enfants"... "Oui, ma chérie nous y allons." Je me déplace vers la porte quand tout à coup nous apercevons au loin Monsieur Andrews, l'homme qui a amené le Titanic du rêve à la réalité. Intimidé, je me fais violence pour lui exprimer mon admiration pour son excellent travail.

10 avril 1912, je m'apprête à embarquer à bord du Titanic. Ce paquebot est si grand, si beau, si luxueux, je n'en ai jamais vu de tel auparavant. Je suis un passager de deuxième classe, comme le prouve le billet que je tiens serré dans ma main depuis plus d'une heure déjà. Toutes mes économies y sont passées mais je ne regrette rien. Une nouvelle vie s'offre à moi ainsi qu'à ma fille, qui semble émerveillée. C'est incroyable comme elle a grandi depuis la dernière fois où je suis venu en Angleterre. Il était grand temps que je revienne la chercher après tout ce temps où on a été séparés. Nous allons pouvoir nous retrouver sur ce paquebot et profiter du temps que nous avons perdu. D'après la publicité, nous n'allons pas nous ennuyer une seconde, et je suis pressé de découvrir la piscine dont on m'a tant parlé. Un homme me salue, il s'agit de mon voisin de cabine que j'ai croisé tout à l'heure. Nous n'avons échangé que quelques mots courtois, mais il me semble être un homme bien. Le temps que nous discutions, ma fille s'est envolée! Je dois vite la retrouver, il est l'heure d'embarquer. Heureusement, elle n'est pas bien loin. Elle est en admiration devant un homme notant quelque chose dans un petit carnet. Il nous aperçoit et nous dit "Monsieur, ne perdez pas une seconde, embarquez immédiatement avec votre ravissante fille. Je vous souhaite une excellente traversée".

Nous pénétrons ainsi à l'intérieur du Titanic, et je n'en crois pas mes yeux, la publicité n'était pas mensongère, tout ce luxe qui nous illumine! Et comble du bonheur, on nous invite à visiter les installations de Première Classe au pas de course! C'est une chance inouïe pour les modestes passagers que nous sommes, ma princesse est aux anges à l'idée d'admirer le fameux Grand Escalier et la Salle à Manger, où une charmante dame, nommée, comme je l'apprends presque aussitot du steward serviable qui nous permet cette visite rapide, Madeleine Astor, épouse du milliardaire new-yorkais John Jacob Astor IV, issu d'une richissime famille. C'est alors que ma petite s'exclame: "Maman va venir nous rejoindre ?" Embarassé, j'élude la question et l'emmène sur le pont voir les canots de sauvetage qui l'impressionnent. Papa, à quoi servent ces bateaux en bois ? Eh bien ma fille, ils servent à évacuer les passagers et membre d'équipage si d'aventure il arrivait malheur à ce navire! Seulement, il n'y a presque aucun risque que cela n'arrive, ce paquebot ne peut pas couler" Ma petite fille me regarde alors d'un air dubitatif,puis, l'air sérieux, rétorque "Je ne me sens pas bien... s'il vous plait pouvons-nous rentrer à l'intérieur ? J'aimerais jouer avec les autres enfants"... "Oui, ma chérie nous y allons." Je me déplace vers la porte quand tout à coup nous apercevons au loin Monsieur Andrews, l'homme qui a amené le Titanic du rêve à la réalité. Intimidé, je me fais violence pour lui exprimer mon admiration pour son excellent travail. D’un sourire courtois, il me remercie. Ses yeux expriment le calcul et l’attention apportée au moindre détail.